Le Burkina Faso, quatrième producteur d’or en Afrique, voit son secteur minier majoritairement dominé par des compagnies étrangères.
-
Godemichet anal en verre pour femmes et hommes, perles anales, dilatateur vaginal, masturbateur féminin, jouets sexuels, jeux pour adultes 18, produit 7.0, 27-37mm
2559 CFA – 4255 CFA Choix des options Ce produit a plusieurs variations. Les options peuvent être choisies sur la page du produit -
Vibromasseur à succion vaginale pour femme, ventouse vibrante à 14 vitesses, aspiration de sexe Chev, anticlitoris, jouet sexuel 7.0, bien-être sexuel
4796 CFA – 12839 CFA Choix des options Ce produit a plusieurs variations. Les options peuvent être choisies sur la page du produit -
SashWearable Dileducative Vibromasseurs BDSM pour femmes, StiLiban ateur de point G, Ohio eur féminin, Mastyellar ator, Sex Toys, 7.0 Sextoy, Jeux pour adultes
2540 CFA Choix des options Ce produit a plusieurs variations. Les options peuvent être choisies sur la page du produit -
Manchon pour Pénis à Boucle Retardée, Jouets Sexuels pour Homme, Anneaux 7.0, Gode avec Éjaculation, pour Adulte de 18 ans et Plus
1075 CFA – 1087 CFA Choix des options Ce produit a plusieurs variations. Les options peuvent être choisies sur la page du produit -
Fox Tail Metal Butt Plug Sex Toys, Animal Py Play, BDSM Sex Products for Women, Couples, Adult Games, 7.0 Cosplay 18
2454 CFA – 2564 CFA Choix des options Ce produit a plusieurs variations. Les options peuvent être choisies sur la page du produit
En 2023, ces entreprises ont exporté près de 60 tonnes d’or, mais une faible portion des revenus est réinvestie localement.
Le gouvernement de transition entend rectifier cette situation. En conseil de ministres le mercredi 20 novembre 2024, il a adopté trois nouveaux décrets. Ces textes visent à renforcer la régulation du secteur minier et maximiser les bénéfices pour l’économie nationale.
Le premier décret fixe les procédures d’attribution et de gestion des titres miniers, limitant notamment les superficies des permis et le nombre de permis par bénéficiaire.
Il intègre également le Bureau des mines et de la géologie (BUMIGEB) pour améliorer les connaissances minières.
Le deuxième décret réorganise les Conventions minières en réduisant leur durée à cinq ans, en augmentant la participation gratuite de l’État à 15 % et en imposant la prise en compte des plans de développement communautaire.
Le troisième décret ouvre le capital des sociétés minières à l’État et aux investisseurs burkinabè, avec des modalités précises pour leur participation.
En effet, conformément aux articles 10 et 81 du Code minier, ce texte permet à l’État et aux acteurs nationaux de participer plus activement au secteur extractif.
Les critères d’éligibilité des investisseurs burkinabè à la prise de participation dans les sociétés minières ont été définis.
L’État pourra désormais détenir des parts sociales dans les sociétés semi-mécanisées et participer dès leur création ou au cours de leur existence.
Ce décret prévoit également les modalités de rétrocession des parts sociales aux investisseurs burkinabè. Ces mesures renforcent l’intégration des acteurs locaux dans le secteur et soutiennent l’autonomie économique du Burkina Faso.