Brunel, une victoire à la Pogacar ? "Tadej est une inspiration pour beaucoup de coureurs"

Du haut de ses 26 ans, Alexys Brunel a remporté en solitaire le Grand Prix Monseré dimanche à Roeselare. Le coureur français de la TotalEnergies a profité de sa présence dans l’échappée pour aller s’imposer en solitaire au terme des 202 kilomètres de course. Une surprise pour lui qui s’est peut-être inspiré de son ex-coéquipier Tadej Pogacar, capable de telles prouesses sur les grandes courses. Les chaines Eurosport sont disponibles au sein des offres Canal+, Prime Video, Bouygues Telecom et Free avec TV by Canal

source

Pourquoi les prix des cartes graphiques annoncés par AMD et Nvidia ne veulent plus rien dire

Le marché des cartes graphiques est devenu une épreuve pour les consommateurs, entre stocks qui s’épuisent et prix qui s’envolent. Derrière cette situation complexe, on voit s’effacer progressivement la notion de prix conseillé.

La RTX 5070 à côté de la RTX 5080 // Source : Chloé Pertuis pour Frandroid

À chaque lancement de cartes graphiques, mais aussi de processeurs, c’est la même rengaine : les constructeurs communiquent un prix « conseillé » que les partenaires appliquent à certains modèles alors que des versions modifiées ou overclockées sont proposées à un tarif supérieur.

Mais depuis plusieurs années, la notion de prix conseillé devient progressivement un mirage alors que de moins en moins de partenaires l’appliquent systématiquement. Récemment, MSI a été pris la main dans le sac à ne plus adopter ce MSRP (Manufacturer’s Suggested Retail Price) pour ses RTX 5070, comme l’ont découvert nos confrères de Hardware & Co.

Et cette semaine, à l’occasion de la sortie des Radeon RX 9070 de AMD, on apprend que ce prix conseillé n’est en réalité que temporaire.

Radeon RX 9070 : un tarif réservé aux premiers arrivages

L’information nous vient du distributeur suédois Inet.se (via VideoCardz) qui nous apprend que le prix conseillé communiqué par AMD pour les Radeon RX 9070 et 9070 XT ne s’applique « qu’à un nombre limitée de cartes ».

Plus précisément, il s’applique à la « première livraison de chaque modèle ». Le distributeur précise que ces premiers arrivages de chez Sapphire, ASUS et PowerColor ont bien été vendus au prix conseillé jusqu’à rupture des stocks.

Une première fournée de RX 9070 XT vendue au prix conseillé au Royaume-Uni // Source : Overclockers UK

La fournée suivante sera vendue à un tarif supérieur. Il s’agit là d’une pratique commerciale somme toute assez classique, mais toujours aussi décriée, afin d’inciter à l’achat le plus tôt possible dans la vie d’un produit. La situation est encore pire pour le marché des voitures neuves, qu’il est encore plus complexe d’acheter à leur prix conseillé.

Un membre de l’équipe du site britannique Overclockers précise que ce MSRP est « limité à quelques centaines d’unités », ce qui signifie que « les prix grimperont une fois que toutes les unités auront été vendues ».

Des prix qui explosent déjà à 24 heures du lancement

Actuellement, la Radeon RX 9070 XT de chez Sapphire (modèle Pulse) est vendue à tarif avoisinant les 900 euros sur les magasins LDLC, Matériel.net et TopAchat. Ce modèle a été lancé à 689 euros ce jeudi 6 mars et a donc pris 200 euros en une petite journée. C’est bien simple, elle adopte ainsi le tarif de base de la RTX 5070 Ti de chez Nvidia qu’elle concurrence frontalement, mais qui affiche désormais un tarif autour des 1300 euros.

Pour ne rien arranger, AMD ne propose pas de modèle de référence pour ces deux Radeon RX 9070. À l’instar des Founder’s Edition de Nvidia, ces modèles sont systématiquement vendus à leur prix conseillé, mais sont par conséquent très prisés par les consommateurs.

Ne vous y trompez pas : ce tarif conseillé par le fabricant n’est en aucun cas une obligation pour les partenaires de l’adopter. Il reste une base pour fixer le prix final du produit dans les étalages. Si la demande est bien supérieure à l’offre, comme c’est le cas sur le marché aujourd’hui, alors cette augmentation systématique n’est malheureusement pas surprenante.

Si chaque produit livré en magasin est vendu, alors son tarif augmente pour alimenter la production.

Des capacités de production insuffisantes

Cette situation, nous la connaissons depuis la crise du COVID, mais pour plusieurs raisons. Si les chaines de fabrication ont été surchargées à cause du boom de la crypto, elles le sont désormais depuis celui de l’IA.

Les fabricants comme Nvidia et AMD génèrent une très large majorité de leur chiffre d’affaires sur la vente de GPU dédiés aux fermes d’entrainement de réseaux neuronaux. Récemment, c’est Sam Altman, le président d’OpenAI, qui a déclaré que l’entreprise derrière ChatGPT était « à court de GPUs » et qu’elle allait en rajouter « plusieurs dizaines de milliers » la semaine suivante.

https://twitter.com/sama/status/1895203654103351462

Les capacités de productions des usines de TSMC, qui fabrique les puces pour Nvidia et AMD à Taiwan, ne sont pas extensibles à l’infini. De même, celles de Samsung, Micron Electronics ou encore Skynix qui sont aussi sollicités par les deux géants et leurs partenaires pour la production de mémoire vidéo (VRAM).

Dans ce contexte, c’est évidemment le consommateur final qui en pâtit, devant parfois investir plusieurs centaines d’euros supplémentaires pour ses produits. Cela complexifie aussi la tâche de journalistes tech alors que le barème de notation d’un produit peut se baser sur le prix comme chez Frandroid. Comme bien souvent, les seuls gagnants dans l’affaire sont les géants de la tech qui se font leur beurre loin du marché grand public.


Envie de rejoindre une communauté de passionnés ? Notre Discord vous accueille, c’est un lieu d’entraide et de passion autour de la tech.


source

Prix du service public des NationsUnies 2026

Le Département des affaires économiques et sociales a le plaisir d’annoncer le Prix du service public des Nations Unies 2026 qui récompensera la créativité et l’innovation au sein des institutions publiques afin d’améliorer l’efficacité, la transparence et l’inclusion.

Date limite : 31 mars 2025

OBJECTIF ET MANDAT DU PRIX DU SERVICE PUBLIC DES NATIONS UNIES

Le Prix des Nations Unies pour le service public (UNPSA) récompense l’excellence dans la fonction publique aux niveaux local, régional et national. Il a été créé en 2003 après que l’Assemblée générale a adopté la résolution 57/277 qui a désigné le 23 juin comme Journée de la fonction publique. Ce prix vise à promouvoir et à soutenir les innovations dans la fonction publique.

En 2016, le Conseil économique et social (ECOSOC) a réaffirmé l’importance du programme « pour promouvoir et soutenir l’innovation et l’excellence dans les services publics au service du développement durable » dans le contexte du Programme de développement durable à l’horizon 2030.

Le programme UNPSA continue de se consacrer à la reconnaissance de la créativité et de l’innovation au sein des institutions publiques afin d’améliorer l’efficacité, la transparence et l’inclusion. Il vise à identifier des initiatives créatives, inspirantes et engagées à fournir des services publics de qualité pour garantir que personne ne soit laissé de côté.

ÉLIGIBILITÉ DU PRIX DU SERVICE PUBLIC DES NATIONS UNIES

  • L’UNPSA est ouvert à toutes les institutions publiques aux niveaux national, infranational et local de tous les États membres de l’ONU. Dans le cas de partenariats, la candidature doit inclure l’institution publique en charge de l’initiative. Le prix UNPSA est décerné à l’institution publique qui met en œuvre le projet, et non à un pays ou à une personne.
  • L’initiative doit avoir été mise en œuvre pendant au moins deux ans.
  • Afin d’éviter les conflits d’intérêts, l’initiative ne doit pas être mise en œuvre par le système des Nations Unies.

CATÉGORIES DU PRIX DU SERVICE PUBLIC DES NATIONS UNIES

Les initiatives soumises doivent être pertinentes pour l’une des catégories ci-dessous.

  • Offrir des services inclusifs et équitables pour ne laisser personne de côté
  • Services publics sensibles au genre
  • Institutions publiques transparentes et responsables pour atteindre les ODD
  • Participation et engagement du public pour une prise de décision inclusive

CRITÈRES D’ÉVALUATION DU PRIX DU SERVICE PUBLIC DES NATIONS UNIES

L’initiative doit présenter une idée innovante, une nouvelle politique, une nouvelle approche ou un mécanisme amélioré soutenant la mise en œuvre du Programme 2030. Il peut s’agir d’améliorer la prestation de services publics, de résoudre un problème d’intérêt public ou de renforcer les institutions publiques.

Les initiatives seront évaluées selon trois critères principaux : l’innovation, l’impact et l’adaptabilité.

L’innovation est définie au sens large comme l’adoption de nouvelles approches pour résoudre des problèmes, l’exploration de méthodes alternatives, l’amélioration des systèmes existants et la prise de risques pour créer quelque chose d’original. Elle va au-delà des avancées technologiques et de
l’utilisation des technologies numériques.

L’initiative doit être applicable et adaptable à d’autres contextes pour une éventuelle mise à l’échelle ou réplication.

RECOMPENSES DU PRIX DU SERVICE PUBLIC DES NATIONS UNIES

Les initiatives seront divisées en trois groupes : pays développés, pays en développement et pays les moins avancés.

Les initiatives les plus remarquables seront récompensées par des prix ou des mentions honorables. Entre 2015 et 2024, en moyenne 12 lauréats ont été récompensés à chaque cycle de l’UNPSA. Pour plus de détails sur les initiatives gagnantes dans le passé, veuillez visiter le Centre d’innovation de la fonction publique à l’adresse https://publicadministration.un.org/unpsa/innovation-hub/.

Une candidature en ligne est requise. Toutes les institutions publiques aux niveaux national, infranational et local sont encouragées à postuler.

Documents requis :

  1. Formulaire de soumission
  2. Articles de presse, reportages, études de cas ou rapports tels que rapport d’audit ou d’évaluation qui confirment la validité de l’initiative (au plus 2 documents)

Documents optionnels (maximum 3) :

  • Informations complémentaires telles que vidéos, supports de sensibilisation, documents de projet, etc.

Pour obtenir plus d’informations ou pour candidater au Prix du service public des Nations Unies 2026, cliquez sur les boutons ci-dessous :

source

Google présente AI Mode, un nouvel outil de recherche alimenté par l’IA

Face à la concurrence grandissante de Perplexity et de ChatGPT, Google riposte. Ce mercredi 5 mars 2025, la firme de Mountain View a dévoilé les contours d’un outil particulièrement ambitieux. Baptisé AI Mode, il est capable de générer des réponses exhaustives à des requêtes « nécessitant une exploration plus approfondie », précise un blog post.

Contrairement à AI Overviews, qui génère une réponse précise et synthétique à une requête dans un encart en haut de la page, AI Mode dispose de sa propre interface, « alimentée par une version customisée de Gemini 2.0 », qui offre la possibilité de « formuler des questions complexes, à plusieurs niveaux » et d’approfondir la recherche « grâce à des questions de suivi ».

AI Mode, une nouvelle interface alimentée par l’IA dans Google Search

Actuellement en phase expérimentale aux États-Unis, AI Mode est censé répondre à une demande formulée par les power users d’AI Overviews, d’après Google : obtenir davantage de résultats générés par l’IA pour un plus grand nombre de requêtes, avec des réponses qui vont au-delà d’un simple résumé.

Avec AI Mode, ce vœu semble exaucé. L’outil se présente sous la forme d’un nouvel onglet dans l’interface de Google Search, aux côtés des historiques Images, Actualité ou Vidéos. À l’image de Perplexity ou de la fonctionnalité de recherche de ChatGPT, il fournit des réponses particulièrement détaillées à des questions qui, normalement, nécessitent plusieurs recherches. Il peut notamment servir à explorer un nouveau concept, ou comparer plusieurs options, précise l’entreprise.

Voici à quoi ressemble concrètement l’interface d’AI Mode :

Ce nouveau mode de Search étend les capacités d’AI Overviews en intégrant un raisonnement plus avancé, des capacités de réflexion et multimodales. Vous posez n’importe quelle question et obtenez une réponse alimentée par l’IA, avec la possibilité d’approfondir grâce à des questions de suivi.

Mais comment ça marche, au juste ? Dans l’exemple ci-dessous, un utilisateur pose la question : « Quelle est la différence entre les fonctionnalités de suivi du sommeil d’une bague connectée, d’une montre connectée et d’un tapis de suivi du sommeil ? ». Pour y répondre, AI Mode adopte une approche en plusieurs étapes. Après une première phase de réflexion, qui peut durer plusieurs secondes selon le média spécialisé 9to5Google, il va « élaborer un plan, effectuer des recherches pour trouver de l’information et ajuster le plan en fonction des résultats », précise la firme. L’utilisateur peut, ensuite, poser une question de suivi pour compléter sa recherche.

L’outil, particulièrement prometteur, s’appuie à la fois sur des données récentes issues du web, sur un catalogue incluant des milliards de produits et sur des sources en temps réel comme Knowledge Graph.

Cette version préliminaire d’AI Mode est accessible uniquement sur invitation, et réservée aux utilisateurs souscrivant à l’offre Google One AI Premium. Pour un déploiement à plus grande échelle, il faudra sans doute patienter.

Google améliore la fonctionnalité AI Overviews, toujours indisponible en Europe

Parallèlement, Google a également annoncé des évolutions pour AI Overviews, qui bénéficie aussi des capacités avancées de Gemini 2.0. Déjà déployés dans plus d’une centaine de pays depuis octobre 2024 et utilisés par « plus d’un milliard d’utilisateurs », selon la firme, ces résumés générés par IA, qui apparaissent dans un encart en haut de page, seront proposés pour un plus grand nombre de requêtes, en particulier les plus complexes. Google précise, en outre, qu’il ne sera « plus nécessaire de se connecter pour y accéder ».

En Europe, la fonctionnalité, censée révolutionner la manière de rechercher et trouver des informations en ligne, n’est toujours pas disponible, bien que des tests aient été repérés en Allemagne, en Suisse ou en Espagne. Aucune date de sortie n’a été communiquée.

source

Puce M4 Ultra : un défi trop grand pour Apple ?

Apple pourrait bien surprendre en renonçant potentiellement à la puce M4 Ultra. Une décision inattendue qui soulève de nombreuses questions sur la stratégie de l’entreprise et l’avenir de ses Mac haut de gamme.

Le M3 Ultra se destine avant tout aux professionnels de l’image et de l’IA // Source : Apple

La récente mise à jour du Mac Studio avec des options de puces M4 Max et M3 Ultra a suscité l’étonnement dans la communauté tech. Cette configuration inhabituelle laisse planer le doute sur l’existence future d’une puce M4 Ultra, pourtant attendue par de nombreux professionnels.

Plusieurs éléments suggèrent qu’Apple pourrait effectivement renoncer à développer cette puce haut de gamme. Tout d’abord, la technologie UltraFusion, qui permettait jusqu’à présent de fusionner deux puces Max pour créer une puce Ultra, est absente de la M4 Max selon Numerama. Cette omission rend impossible la création d’une M4 Ultra selon la méthode traditionnelle.

L’Apple M4 Ultra pourrait ne jamais voir le jour

Le développement d’une puce M4 Ultra entièrement nouvelle se heurterait à des obstacles majeurs. Selon les informations rapportées par Mark Gurman de Bloomberg, Apple serait réticent à se lancer dans cette entreprise en raison des défis de production, des coûts élevés et du volume de ventes relativement faible des ordinateurs de bureau haut de gamme comme le Mac Studio.

La création d’une puce M4 Ultra monolithique, sans recourir à la fusion de deux puces Max, impliquerait un processus de développement complexe et coûteux. Les estimations suggèrent que le coût de production d’une seule unité fonctionnelle serait prohibitif, rendant difficile la rentabilisation du projet. De plus, les ventes limitées des Mac Pro et Mac Studio ne justifieraient pas un tel investissement, malgré l’avantage technologique que cela pourrait apporter face à la concurrence.

Cette situation pourrait pousser Apple à repenser sa stratégie pour les puces haut de gamme. Une option envisagée serait de sauter une génération et de se concentrer sur le développement d’une puce M5 Ultra. Cela impliquerait que la future puce M5 Max soit équipée d’un connecteur UltraFusion, ouvrant la voie à une nouvelle itération de la technologie Ultra. En attendant, les utilisateurs professionnels devront se contenter des performances offertes par les puces M4 Max et M3 Ultra.


source

Scandal: Nestlé lobbying all the way to the top of government

Confidential documents obtained by Radio France and Le Monde reveal how Nestlé managed to obtain derogations to illegally filter its bottled water, despite health warnings and opposition from the Direction Générale de la Santé.

In an affair that has shaken the highest echelons of the French state, a vast lobbying operation led by food giant Nestlé enabled the company to circumvent regulations on natural mineral waters, despite proven health risks. Exchanges of e-mails, ministerial memos and inspection reports reveal a chain of political responsibility stretching right up to the highest levels of government.

Contamination concealed since 2021

It all began in August 2021, when Nestlé, concerned by a DGCCRF investigation, organized an initial meeting with the cabinet of Agnès Pannier-Runacher, then Minister of Industry. The company was using banned filters in its factories to treat water contaminated with fecal bacteria and other chemical pollutants.

Intensive lobbying of the highest authorities

The documents reveal successive meetings with advisors to Emmanuel Macron, Élisabeth Borne, Bruno Le Maire and other ministers. The Secretary General of the Élysée Palace, Alexis Kohler, himself received Nestlé representatives. The company steps up the pressure, notably by threatening to cut jobs.

Health authorities ignored

Despite repeated warnings from the French health authorities (Direction Générale de la Santé and Anses) about the health risks, particularly viral, and their recommendations to suspend the operation of the sources, the government gave in to Nestlé’s demands in February 2023. The company obtained authorization to use non-compliant filters, despite warnings from health experts.

A victory for lobbying at the expense of public health

The epilogue to this case illustrates the victory of industrial lobbying over public health considerations. Nestlé won its case to continue using its controversial filters, and its CEO, Muriel Lienau, was even promoted to President of Nestlé France in the process. Faced with these revelations, political leaders are now passing the buck, or claiming not to remember the details of the affair.
This affair highlights the mechanisms of influence that can be exerted at the highest levels of government, even when public health is at stake. It also raises questions about the transparency of decision-making processes and consumer protection in the face of corporate interests.


source

Brantford community leaders supporting hometown hockey legend Wayne Gretzky

Article content

Mayor Kevin Davis and other community leaders are voicing their support for hometown hockey legend Wayne Gretzky.

Advertisement 2

Article content

Article content

Article content

“I judge people on what they’ve done for our community not by their associations and Wayne and the entire Gretzky family have done a great deal for the City of Brantford,” Davis said Friday. “His contributions to the community and to Canada began years ago and continue to this day.

The Gretzky family has brought immense pride and greatness to Brantford, Davis said.

Gretzky has been widely criticized for supporting U.S. President Donald Trump by attending his inauguration in January. The Brantford born and raised hockey legend also attended an election victory party for the U.S. president and was reportedly seen wearing a Make America Great Again hat.

More criticism erupted when Gretzky served as Team Canada’s honorary captain at the Four Nations Face-off in February and wore a suit instead of Team Canada jersey for the opening face-off.

Advertisement 3

Article content

Locally, Davis acknowledged that there are those who are upset with what happened at the Four Nations final and with Gretzky’s association with the U. S. president.

“They’re entitled to their opinions just like everyone else,” Davis said. “But I don’t think their views are at all representative of the city.

“The overwhelming majority of residents don’t support that view and those of us who have been involved with the Gretzky family over the years appreciate and respect what they’ve done for the community.”

Posts to community Facebook groups have been critical of Gretzky’s association with the U.S. president with some saying his name should be removed from a road and sports facility in Brantford.

The city has received 12 emails and 20 calls with feedback related to renaming the Wayne Gretzky Parkway and the Wayne Gretzky Sports Centre.

Advertisement 4

Article content

A spokesperson for the city said decisions to rename current infrastructure is typically only reviewed under exceptional circumstances with significant public engagement considered to inform the process.

Brantford-Brant MP Larry Brock took to social media to support Gretzky.

“As someone who is deeply grateful for all Wayne Gretzky and the Gretzky family has done for Brantford, I am  proud of Wayne’s legacy as an outstanding ambassador for our community and our country,” Brock said. “He has displayed his Canadian pride on a global stage time and time again.

“As one of the most recognizable figures in the world of sports, Wayne’s impact extends far beyond the ice rink.”

Gretzky has an unwavering commitment to using his success to improve the lives of others through his charitable work, he said.

Advertisement 5

Article content

“Brantford is truly fortunate to call him one of our own,” Brock said.

Premier Doug Ford came to Gretzky’s defence earlier this week.

“He is a patriot, he loves Canada,” Ford said Tuesday at a news conference where he announced a series of retaliatory measures against the U.S.

“He never gave up his Canadian passport. So folks, give the guy a break, just give him a break. He loves Canada. He loves it like no tomorrow.”

Brantford-Brant MPP Will Bouma posted the premier’s support for Gretzky on his social media page.

“His commitment to Canada and patriotism has been steadfast and I stand with Wayne,” Bouma said.

Bouma’s post generated 27 comments, some of which were supportive while others were critical. .

“Good for Mr. Ford for trying to help Wayne save face, but if it walks like a duck, and quacks like a duck, it’s a duck. Long live the Great White North!” Jason Gibson posted on Bouma’s social media page.

Advertisement 6

Article content

Nicole Stevens-Durnford, in a post on Bouma’s social media page, said “please tell me what he’s (Wayne) done for Brantford.”

Davis was pleased to respond to that question.

The mayor began by citing the CNIB tennis tournament that brought numerous celebrities to Brantford and raised thousands of dollars for CNIB.

“Wayne continues to champion our community to this day,” Davis said. “A lot of what he’s done has been done in a quiet, humble way and much of it is supporting young people involved in sports – young people who might not otherwise have that opportunity.”

“He insists that it’s done quietly.”

Wayne and his family are major supporters of Special Olympics, Davis said.

The mayor said one of the reasons Graeme Roustan brought his hockey stick manufacturing facility to Brantford is the city’s affiliation with the Gretzkys

Advertisement 7

Article content

The company, Heritage Hockey Sticks, came to Brantford from Hespeler in 2020 and manufactures about 400,000 hockey sticks a year from its 65,000-square-foot Brantford plant.

The mayor said Wayne also gave the city a boost when former Brantford Bulldogs owner Michael Andlauer was looking to move his team out of Hamilton.

“He (Andlauer) had options including Brampton and Cornwall and there was a chorus of voices telling him that the city couldn’t support an OHL team,” Davis said. “He (Andlauer) approached Wayne who told him, without reservations, that going to Brantford would be a terrific move.”

(With files from National Post)

Vball@postmedia.com

Article content

source

France recorded significant rise in cyberattacks linked to Paris Olympics

France’s National Agency for the Security of Information Systems (Anssi) reported 4,386 “security events” on computer systems in 2024, an increase of 15 percent from the previous year, according to data revealed on Tuesday.

Issued on:

2 min

During the Paris Olympic Games and the rest of the year, 2024 was marked by a “large number of destabilisation attacks”, noted Anssi in its report entitled Panorama de la cybermenace (Panorama of Cyberthreats), published on Tuesday.

Anssi‘s director Vincent Strubel, told France Inter radio that for example, a pro-Russian group “threatened to attack sewage treatment plants, to pollute the Seine during the Olympic Games”.

He said that these actions were mainly carried out by pro-Russian and pro-Palestinian hacktivist groups, some of which may be affiliated with States,” he said.

Anssi refers to “hacktivist groups with a low level of technicality” but “a strong capacity to publicise their activities.”

In the report Anssi names operators like Cyber ​​Army of Russia Reborn (CARR) and Lulzsec Muslims, who “managed to access management interfaces exposed on the Internet.”

Hackers target Grand Palais Olympics venue and other Paris museums

Strubel says the actions put in place by French authorities to deter the wave of attacks was a success and “no computer attack disrupted the smooth running” of Olympic sporting events.

Anssi says that 4,386 security incidents were reported in 2024, representing 15 percent more than in 2023. 

Of the total, 3,004 concerned abnormal or unexpected behavior on computer systems and 1,361 were labelled as security events where Anssi confirmed that a cyberattack had been detected.

Make an impression

Although a peak was reached in July, the incidents did not all concern the Olympics.

With regards to the other attacks carried out throughout the year, their aim was “to disrupt the functioning of different infrastructures, to make an impression,” Strubel told French news agency AFP.

According to Anssi, these attacks targeted renewable energy production sites, the State Interministerial Network (RIE) and telecom infrastructures.

In its analysis, Anssi noted an increase in attacks targeting IT security tools such as firewalls or VPNs.

France deploys crisis cell to deal with fallout of major cyberattack

“When these devices have vulnerabilities, it’s pretty quickly catastrophic,” Strubel says. “It’s a little troubling to think that we’re buying security equipment that ends up being the gateway for attackers, but beyond that, the reality of the threat and the ability of attackers to seize it is something that concerns us.”

At the same time, ransomware attacks, capable of blocking access to a computer system in exchange for the payment of a ransom, have continued to flourish.

Small and medium-sized companies continue to be the preferred targets: in 2024, they represented 37 percent of ransomware victims, compared to 34 percent the previous year.

Universities and higher education institutions represent 12 percent of these types of ransomware attacks, Anssi reported.

Over the past few years, French President Emmanuel Macron has addressed the issue of cyber security and promised to inject significant funds into readying the country to tackle new threats.

(with newswires)

source

France moves to bring back village bars in bid to boost rural social lives

French lawmakers on Monday adopted a bill making it easier to open a bar in villages without one, with backers saying it would revive rural socialising, but critics warning of health risks.

France had some 200,000 cafes in 1960, often serving as the social centre of gravity for communities around the country.

By 2015, that number had fallen to just 36,000, with most closures in rural areas, according to a 2017 report from the France Boissons industry body and the CREDOC consumer studies agency.

The new legislation, which would loosen strict restrictions on new bar permits to sell hard liquor, does away with “an old and obsolete legal framework,” said the centrist lawmaker behind the bill, Guillaume Kasbarian.

He and other lawmakers argued the change was needed to bring back cafes and bars to remote countryside areas, thus cementing social ties, boosting local economies and creating jobs.

The drinking spots in question “are, above all, places for people to come together in very rural areas and in a society where people have a tendency to close in on themselves,” one parliamentarian, Fabien Di Filippo, said.

Under French law, a type-4 alcohol licence in a bar or bistro allows the consumption of alcoholic beverages, including those containing more than 18 percent alcohol, such as spirits.

But no new such permit can be created, and aspiring bar managers must often wait until another type-4 bar closes permanently to acquire their licence from them.

The new legislation would allow cafe owners in rural municipalities with less than 3,500 inhabitants that do not already have a type-4 bar to request a brand-new permit instead of waiting for an old one to become free. The local mayor would have the right to approve — or deny — the request.

The measure was adopted nearly unanimously by the French parliament, with 156 lawmakers backing it and just two voting against. It now has to be approved by the Senate.

Advertisement

Additional bar

While the original idea of the bill was to allow just one type-4 bar to open in a village lacking one, an amendment added by the centre-right MoDem party gave municipal authorities the power to approve one additional bar.

It is difficult to estimate how many villages could benefit from the law, but 31,000 out of 35,000 rural municipalities have fewer than 3,500 inhabitants, according to the association of French mayors.

Detractors of the bill fear a rise in alcohol consumption in areas where social services to help people fight addiction are not readily available.

They have questioned why the law needs to allow the consumption of spirits in villages, and why a type-3 licence that allows the selling of beer and wine is not sufficient.

Advertisement

Some lawmakers also expressed concern the new legislation might be broadened in the future to allow bigger villages or towns to authorise more bars selling spirits.

Supporters have said the measure is important to draw residents out of isolation, and that hard liquor is available for sale at nearby supermarkets anyway.

Alcohol causes 49,000 deaths each year, according to the French health ministry’s website.

source

Greenland's mining industry struggles to take off

Nuuk, March 7, 2025.

Cryolite entered the Greenland election campaign on February 8. On that day, the cultural center in Nuuk, the capital of the autonomous Danish territory, premiered a documentary entitled Greenland’s White Gold, broadcast the following day on the Danish public channel DR. It revealed that, for more than a century, the extraction of this mineral, used in the production of aluminum, and whose only deposit, now depleted, was on the island’s west coast, had earned the equivalent of 400 billion kroner (nearly 54 billion euros) for the company in charge of its extraction and the Danish state. A fortune!

While the figures have since been disputed by Danish economists and the documentary withdrawn from the channel’s platform, Greenlanders saw it as confirmation of the enormous potential nestled in their subsoil, which, if exploited, could lead the territory’s 56,500 inhabitants towards independence. Donald Trump’s desire for the island, which is four times the size of France, has only served to validate this hypothesis.

You have 87.36% of this article left to read. The rest is for subscribers only.

source