Maryland Senator Chris Van Hollen, right, speaks with Kilmar Abrego Garcia, a Salvadoran citizen who was living in Maryland and deported to El Salvador by the Trump administration, in a hotel restaurant in San Salvador, El Salvador, Thursday, April 17, 2025. AP
American Senator Chris Van Hollen said on Thursday, April 18, he had met with a Salvadoran man wrongfully deported to his home country by the Trump administration, in a case that has sparked outrage in the United States. Van Hollen had earlier said he had been denied access to the prison where Washington has paid President Nayib Bukele millions to lock up nearly 300 migrants it says are criminals and gang members – including 29-year-old Kilmar Abrego Garcia. “I said my main goal of this trip was to meet with Kilmar. Tonight I had that chance,” Van Hollen later posted on X with a photo of him sitting at what appeared to be a restaurant table with Abrego Garcia.
The dour-faced deportee is shown wearing a short-sleeved check shirt and a baseball cap. Van Hollen added that he would offer “a full update upon my return” to the US. Abrego Garcia was detained in Maryland last month and expelled to El Salvador along with 238 Venezuelans and 22 fellow Salvadorans who were deported shortly after President Donald Trump invoked a rarely-used wartime authority.
Trump administration officials have claimed he is an illegal migrant, a gang member and involved in human trafficking, without providing evidence. Abrego Garcia had enjoyed a protected status in the US, precluding his deportation to El Salvador for his own safety. A federal judge has since ordered that he be returned, later backed up by the Supreme Court. But the administration – despite admitting an “administrative error” in his deportation – contends he is now solely in Salvadoran custody.
‘Staying in El Salvador’
Bukele, who met Trump in Washington on Monday, said he does not have the power to send the man back. The Salvadoran leader posted to X late Thursday that Abrego Garcia was “sipping margaritas with Sen. Van Hollen in the tropical paradise of El Salvador.” The deportee in fact appeared to have a cup of coffee and glass of water on the table in front of him. “Now that he’s been confirmed healthy, he gets the honor of staying in El Salvador’s custody,” Bukele added in another post.
Van Hollen, on the second day of his trip to El Salvador, had earlier tried to make his way to the notorious Terrorism Confinement Center (CECOT) outside the capital San Salvador to see Abrego Garcia. The car he was traveling in was stopped by soldiers, he said, about three kilometers from the complex holding thousands of Salvadoran gangsters, and now also hundreds of migrants expelled from the United States. “We were told by the soldiers that they had been ordered not to allow us to proceed,” the senator later told reporters.
Résumé du premier volet de l’enquête: le 21 novembre dernier, des combattants soudanais filment des obus de mortier destinés selon eux aux Forces de soutien rapide (FSR), la milice qui affronte l’armée régulière dans la guerre civile en cours. Ces armes, fabriquées en Bulgarie, ont été transférées au Soudan malgré un embargo de l’Union européenne sur ce pays ravagé par les conflits.
Comment de l’armement européen a-t-il pu se retrouver au Soudan, malgré l’embargo imposé par l’UE à destination de ce pays ? Après être remontée jusqu’à l’entreprise bulgare Dunarit ayant fabriqué les obus de mortiers, la rédaction des Observateurs a cherché à retracer le parcours de ces armes. Elle a interrogé la Commission interministérielle pour le contrôle des exportations, l’autorité bulgare chargée d’autoriser les exportations d’armes.
Dans un premier temps, celle-ci n’a pas souhaité donner plus d’informations sur le pays d’exportation initial de l’armement filmé par les combattants soudanais, affirmant simplement ne pas avoir “délivré de permis d’exportation vers le Soudan”. “L’autorisation d’exportation a été délivrée pour le gouvernement d’un pays contre lequel il n’y a pas de sanctions imposées par le Conseil de sécurité de l’ONU. L’autorité compétente bulgare a été informée de la livraison des produits et les originaux des certificats de livraison par l’utilisateur final des produits ont été fournis”, a-t-elle précisé.
Mais une source ayant choisi de garder l’anonymat a fait parvenir à la rédaction des Observateurs la copie de l’un des certificats de livraison en question. Ce document, émis le 16 août 2020 par le “quartier général des forces armées des Émirats arabes unis”, est très riche en informations sur la transaction. On apprend ainsi que l’utilisateur final des obus de mortier bulgares serait l’armée des Émirats arabes unis (EAU) elle-même.
Ce document détaille une livraison conséquente : 15 000 obus de mortier de 81 mm (comme ceux visibles dans les vidéos du 21 novembre 2024 filmées au Soudan), mais aussi 2 780 obus de 60 mm, 30 000 de 82 mm et 11 464 de 120 mm, un calibre beaucoup plus puissant. Les armes ont été livrées à l’armée émiratie en deux fois, en janvier et février 2020. Enfin, deux entreprises sont mentionnées, en plus de l’état-major de l’armée émiratie : une compagnie “fournisseuse” bulgare, ARM-BG LTD., et un “importateur” émirati, International Golden Group PJSC. Le fabricant, Dunarit, n’est pas mentionné.
La rédaction des Observateurs a pu recouper ces informations à l’aide d’un second document, émanant d’une autre source ayant accès aux informations fournies par l’armée émiratie dans le cadre de l’achat des armes. C’est un certificat d’utilisateur final, censé garantir au fabricant et à l’autorité de régulation du pays d’origine que le bénéficiaire final des armes est correctement identifié. Celui qui produit le certificat y prend un certain nombre d’engagements, notamment en ce qui concerne la réexportation des armes.
Également émis par l’armée émiratie, qui s’y désigne comme utilisatrice finale, ce second document comporte le même numéro de contrat que le premier et mentionne les mêmes entreprises fournisseuse et importatrice. Avec ces données, “il est raisonnable de penser que ces deux documents se réfèrent à la même transaction”, estime Nicholas Marsh, chercheur spécialiste des exportations d’armes à l’Institut de recherche sur la paix d’Oslo.
“L’utilisateur final des armes n’a pas prévenu d’une quelconque réexportation, je ne sais pas ce qu’il s’est passé après”
Dans ce second document daté d’octobre 2019, l’armée émiratie s’engage à “utiliser [les armes] pour les besoins propres des forces armées des EAU” et à ce qu’elles ne soient “jamais transférées, réexportées, prêtées, louées ou données à une tierce partie ou à un pays sans l’accord écrit des corps autorisés de Bulgarie“. Contactée pour savoir si elle avait fourni son accord pour réexporter ces armes au Soudan ou ailleurs, la Commission interministérielle bulgare maintient seulement “ne pas avoir délivré de permis d’exportation vers l’État du Soudan”. Au téléphone, Petar Petrov, le PDG de Dunarit, donne plus de détails :
Sur les documents, on voit le pays de destination, mais aussi l’entreprise [International Golden Group, NDLR]. C’est une entreprise publique. Nous n’avons pas de restrictions sur les exportations vers les Émirats arabes unis, c’est cela que la Commission a examiné. Selon les règles fixées, quand l’utilisateur final décide de réexporter, il doit prévenir toutes les parties de la transaction, le fabricant, les commissions, tout le monde. Dans ce cas, ils ne l’ont pas fait, je ne sais pas ce qu’il s’est passé après.
Le second document mentionne par ailleurs une quantité d’obus très supérieure, 105 000 contre un peu moins de 60 000 pour le premier certificat. Rien d’anormal selon Nicholas Marsh : “Cela permet de prévoir d’autres livraisons sans avoir à demander une nouvelle licence. C’est difficile de savoir si la différence entre le chiffre présent sur le certificat d’utilisateur final et sur le certificat de vérification de livraison [ici, un peu plus de 45 000 obus de mortier, NDLR] a bien été livrée.”
Un contrat estimé à 50 millions d’euros
Nicholas Marsh estime le prix total des 105 000 obus de mortier mentionnés dans le certificat d’utilisateur final à 50 millions d’euros.
Ce genre de livraison est cohérent avec ce que demande le fonctionnement d’un gros groupe armé non étatique. C’est même franchement une très grosse quantité de munitions pour un groupe de ce type. En revanche, pour un État impliqué dans un conflit ouvert, c’est un peu faible.
La rédaction des Observateurs a pu recouper l’estimation de Nicholas Marsh auprès de l’Omega Research Foundation, un réseau de chercheurs spécialistes des violations des droits humains commises grâce à du matériel de défense ou de sécurité.
Ce montant approximatif de 50 millions d’euros que représente cette exportation d’armes est loin d’être négligeable pour la Bulgarie. Selon les données collectées par le Réseau européen contre le commerce des armes, la valeur des exportations bulgares vers les Émirats arabes unis entre 2015 et 2020 – les données plus récentes semblent sous-estimées – se situent entre 10 et 30 millions d’euros chaque année.
En 2019, année de la transaction mentionnée par les deux documents consultés par la rédaction des Observateurs, ces exportations bondissent soudainement à 83 millions d’euros. La vente des 105 000 obus de mortier bulgares pourrait donc représenter plus de la moitié de la valeur des exportations vers les Émirats au cours de cette année exceptionnelle.
ARM-BG, l’intermédiaire bulgare
Auprès de notre rédaction, la Commission interministérielle pour le contrôle des exportations bulgare insiste à plusieurs reprises sur le fait que le pays “respecte scrupuleusement tous les engagements dans le domaine du contrôle des exportations […] et mène une politique nationale responsable”.
Pourtant, les profils des intermédiaires impliqués dans cette vente interpellent. Très peu d’informations sont disponibles sur ARM-BG, l’exportateur bulgare – cette société dispose cependant bien d’une licence officielle pour importer et exporter de l’armement. Selon les informations disponibles sur le site spécialisé Orbis, l’entreprise, qui ne compterait que quatre salariés, semble avoir fait le plus clair de ses bénéfices sur les deux années sur lesquelles s’étend le contrat de vente des armes de Dunarit. Son chiffre d’affaires s’élève ainsi à plus de 78 millions de dollars américains en 2019, puis 106 millions en 2020, avant de s’effondrer brutalement à six millions en 2021, année où ARM-BG entre en sévère déficit. Ses résultats indiquent ainsi près de 3,5 millions de dollars de perte.
Arsen Nazarian, l’un des gérants d’ARM-BG, insiste sur la légalité de la transaction à laquelle son entreprise a participé :
La demande de licence d’exportation pour l’utilisateur final des Émirats arabes unis a été soumise par ARM-BG à la Commission interministérielle pour le contrôle des exportations […] et contenait toutes les données et documents requis par les législations bulgare et européenne, ainsi que par les règles fixées par les Nations unies.
Au téléphone, il ajoute : “Nous sommes une société de courtage. Nous n’exportons ni n’importons pas par nous-mêmes, nous ne nous occupons pas non plus des marchandises.” Pourtant, la société ARM-BG est bien mentionnée comme “exportatrice” ou “fournisseuse” dans les documents émiratis fournis aux autorités bulgares.
Recontactée, ARM-BG a refusé de communiquer plus d’informations. La Commission interministérielle pour le contrôle des exportations affirme “ne disposer d’aucune preuve de l’implication d’ARM-BG dans des livraisons à des utilisateurs finaux illégitimes ou dans des programmes de réexportation illégaux”.
International Golden Group, un acheteur émirati connu pour ses pratiques de détournement d’armes
L’autre entreprise mentionnée sur les documents liés à la vente des armes de Dunarit est International Golden Group (IGG). Elle est mentionnée comme “importatrice” des armes aux Émirats arabes unis. Helen Close, chercheuse spécialiste du secteur de l’armement à l’Omega Research Foundation, a pu collecter des informations sur cette société au cours de ses travaux sur le marché de l’armement aux Émirats arabes unis.
International Golden Group a été créé en 2002. Nous pensons qu’il s’agissait à l’époque d’une entreprise privée ou semi-privée, mais qui avait sans aucun doute des liens avec le gouvernement émirati. En 2017, cette entreprise se définissait comme le premier fournisseur des forces armées et du ministère de l’Intérieur émiratis.
Les ventes d’armes européennes vers les Émirats arabes unis ne sont soumises à aucune sanction ou embargo. Mais International Golden Group n’est pas tout à fait une entreprise d’armement comme les autres : en plus de fournir l’armée émiratie, elle est connue pour ses pratiques de détournement d’armes vers des zones de guerre, comme l’ont rappelé plusieurs spécialistes à la rédaction des Observateurs. Tony Fortin, chargé d’études à l’Observatoire des armements, une structure française spécialisée dans la collecte d’information sur les ventes d’armes et les entreprises du secteur, commente ainsi :
International Golden Group a une très mauvaise réputation, c’est connu, y compris chez les industriels du secteur. C’est une entreprise qui a la réputation de fonctionner comme une sorte d’État dans l’État émirati, en permettant de gérer des flux d’armement de manière opaque.
Tous les ans, le panel rend un rapport général sur la situation en Libye, dans lequel il tente notamment d’identifier les pays, les entreprises et les individus violant cet embargo. Dès 2013, International Golden Group est identifié comme un acteur clé d’un transfert de centaines de milliers de cartouches albanaises vers Benghazi, dans l’est de la Libye. “C’est International Golden Group qui représentait les forces armées des Émirats arabes unis aux négociations”, affirme le rapport.
En 2016, 2022 et 2023, le nom d’International Golden Group est associé à des violations de l’embargo de l’ONU sur les armes à destination de la Libye. Le rapport de 2022 évoque ainsi des obus de mortier serbes de 120 mm. L’un d’entre eux a été utilisé pour piéger une maison civile de Tripoli en novembre 2020. À cette époque, la région de Tripoli, contrôlée par le gouvernement libyen reconnu par l’ONU, faisait l’objet d’une attaque massive des forces de Khalifa Haftar, l’homme fort de l’est de la Libye. Cette offensive était notamment soutenue par les Émirats arabes unis et par les mercenaires du groupe Wagner.
Dans le même rapport, le panel revient plus en détail sur le cas de 2013 : “Bien que l’utilisateur final ait été faussement déclaré comme étant les Émirats arabes unis [sur la documentation fournie par International Golden Group, NDLR], les munitions ont été expédiées par avion directement à Benghazi, en Libye”, depuis le territoire albanais. Le vol pour transporter les munitions a été affrété par un intermédiaire impliqué dans la transaction ; alors que le plan de vol indiquait d’abord les Émirats arabes unis comme destination, il a été changé au dernier moment pour la Libye.
Le rapport de 2016, qui évoque quant à lui un cas d’importation en Libye de fusils bulgares, affirme que le panel des experts de l’ONU “a demandé à la Bulgarie de retracer [le parcours de ces fusils]”. “Les autorités bulgares ont informé le panel qu’International Golden Group avait originellement importé ces armes, et que l’utilisateur final était les forces armées des Émirats arabes unis.”
Les autorités bulgares étaient donc informées dès 2016, soit trois ans avant l’envoi par les Émirats arabes unis des premiers documents concernant la vente d’obus de mortier Dunarit, que des armes vendues à International Golden Group prétendument pour le compte de l’armée émiratie pouvaient être détournées.
“Normalement, dans ce genre de cas, dès que la Bulgarie reçoit les informations, elle doit les partager avec les autres gouvernements européens”, commente Nicholas Marsh.
À ce moment-là, la Bulgarie ne devrait plus autoriser d’exportations passant par International Golden Group. Elle devrait aussi être particulièrement prudente vis-à-vis des exportations vers les Émirats en général. Malheureusement, ce n’est pas vraiment ce qui se passe dans les faits.
Interrogée pour savoir si elle avait connaissance des nombreux cas de détournement d’armes par International Golden Group documentés par le panel d’experts des Nations unies sur la Libye au moment de l’autorisation de la transaction de 2019, la Commission interministérielle bulgare de contrôle des exportations n’a pas répondu à nos questions.
La rédaction des Observateurs n’a pas d’éléments permettant de retracer la dernière partie du transport des munitions bulgares vers le Soudan, ni de savoir si celles-ci ont bien été exportées par International Golden Group vers les zones de l’est de la Libye contrôlées par le maréchal Haftar. Interrogés sur ce point, ni la Commission interministérielle de contrôle des exportations, ni International Golden Group n’ont répondu à nos questions.
Il est en revanche possible de retracer le parcours des hommes qui accompagnaient les munitions bulgares au Soudan – ceux dont les papiers d’identité colombiens sont visibles dans les vidéos du 21 novembre 2024.
Le Togo célébrera le 27 avril prochain le 65e anniversaire de son accession à la souveraineté nationale. En amont des festivités, les autorités ont dévoilé le logo officiel de cette commémoration.
Conçu pour être utilisé sur différents supports (documents imprimés, supports numériques, sites web, applications mobiles, animations vidéo), ce logotype reprend les codes visuels des éditions précédentes et constituera l’élément central de l’identité graphique de cette célébration.
Le visuel intègre notamment une représentation stylisée du monument de l’indépendance, les chiffres 6 et 5 symbolisant les années écoulées depuis 1960, ainsi qu’une étoile blanche, en référence au drapeau national dont les couleurs sont également utilisées.
Plusieurs événements sont annoncés à travers le pays. À Lomé, l’ancien footballeur international Sheyi Emmanuel Adebayor prévoit notamment l’organisation d’un grand concert en l’honneur de cet anniversaire.
L’avenir du FC Toulouse, club de Ligue 1 se dessine. Le club qui est entré sur le marché des rachats pourrait bientôt appartenir à une compagnie émiratie, avec l’implication de Paul-José Mpoku.
L’actuel joueur de l’UTA Arad en Roumanie et chargé du département football à World Gate Investment est activement impliqué dans le rachat du club français.
Dans les lignes du quotidien L’Equipe, l’international congolais et beau-frère de Chancel Mbemba, s’est confié sur les démarches entreprises dans le succès de cette affaire.
« On a juste envoyé un mail pour avoir des infos, parce qu’on avait entendu que le club était en vente. On a écrit à la banque Moelis qui s’en occupe. C’est aussi simple que ça.
Tout le monde en parle avec méfiance, mais on n’est pas là pour casser ou créer des problèmes. On n’est même pas encore là.
On n’est pas pressés. Comme a dit le boss (Anas Amin, patron de World Gate Investment) : on veut la bonne opportunité », a-t-il confié.
Loin des pelouses, Paul-José Mpoku a plusieurs cordes à son arc qui lui permettent de finir sur une belle conclusion dans cette transaction.
« Polyglotte et titulaire d’un diplôme UEFA B d’entraîneur, Mpoku a suivi une formation proposée par la Fifa dans le but d’occuper des postes à responsabilité dans le monde du football.
Alors qu’il s’est engagé il y a deux mois avec l’UTA Arad en Roumanie et qu’il souhaite prolonger encore sa carrière, il met déjà ses compétences de dirigeant à profit au sein de World Gate Investment, désireux d’élargir son portefeuille dans le football, que ce soit dans la ville rose ou ailleurs », rapporte le média RMC Sport.
Le Barça s’est hissé en demi-finale de la Ligue des champions dans la douleur. Cela a obligé Robert Lewandowski à tirer la sonnette d’alarme.
L’attaquant polonais du Barça a été déçu par la récente prestation collective des siens. Il exhorte donc ses coéquipiers à ne plus répéter cela lors des prochaines échéances.
“Si nous devions perdre et commettre des erreurs, autant le faire à ce stade. Plus tard, il n’y aura plus de place pour de telles erreurs”, avait-il balancé à ses coéquipiers avant de manifester ses regrets.
“Nous avons manqué de contrôle au milieu de terrain, nous avons commis beaucoup d’erreurs. Nous avons perdu des ballons, concédé des passes, nous leur avons facilité la tâche.
Le match d’aujourd’hui doit être analysé en profondeur, nous devons en tirer des leçons. Nous ne pouvons pas jouer comme ça.
Nous avons facilité la tâche à Dortmund pour se créer des occasions et marquer. C’est peut-être le signal d’alarme dont nous avions besoin.
Nous devons en tirer des leçons. C’était un match fou. Si l’on regarde les deux matches, on est en demi-finale parce qu’on le mérite, mais on a créé de la tension et de l’anxiété”, a-t-il ajouté.
Les inquiétudes de Robert Lewandowski sont justifiées, car le Barça s’est fait bousculer sur ses propres installations. En effet, les Blaugranas avaient acquis une avance de 4 buts à 0 au match aller.
Mais au retour, Hansi Flick et ses hommes ont été battus sur un score de 3 buts à 1. Cette déroute a écœuré l’artificier polonais du Barça. Il prévient donc ces coéquipiers. Les prestations de ce genre coûteront cher en demi-finale.
C’est en connaissance de cause que Robert Lewandowski a lancé cet appel à la rigueur. Il fait partie des quelques joueurs de l’effectif du Barça à avoir déjà joué une demi-finale de la Ligue des champions.
Le secrétaire exécutif du réseau ouest-africain des organisations paysannes et des producteurs d’Afrique (ROPPA), Ousseini Ouedraogo rappellent que agriculteurs ont besoin d’actions concrètes et immédiates pour faire face aux multiples crises. source
Grok, l’IA de Musk, tente enfin de se souvenir de vos préférences… et rattrape ainsi ChatGPT. La course aux chatbots dotés d’une mémoire est lancée, même si l’oubli reste une option.
Grok, le chatbot controversé d’Elon Musk, tente déjà de combler son retard face à ChatGPT. Sa nouvelle arme ? Une fonction « mémoire » permettant de retenir les échanges passés avec l’utilisateur. Objectif : personnaliser les réponses, comme lorsqu’un pote se souvient enfin de votre film préféré.
D’après xAI, la société derrière Grok, cette mise à jour permet à l’IA de mémoriser vos demandes précédentes pour affiner ses suggestions. Demandez-lui des recommandations de séries un jour, elle les ajustera le lendemain en fonction de vos critiques. Un système déjà éprouvé par ChatGPT et Gemini, mais qui manquait à Grok pour rivaliser.
Une mémoire sélective… et effaçable
Contrairement à notre propre mémoire, Grok offre un contrôle total sur ses souvenirs. Les utilisateurs peuvent consulter les données enregistrées, supprimer des éléments spécifiques ou désactiver complètement la fonction. « Vous voyez exactement ce que Grok sait, et choisissez ce qu’il doit oublier », résume l’équipe.
Pour l’instant, la fonctionnalité est en beta test sur le site Grok.com et les applications iOS et Android. Mais elle ignore encore les résidents de l’UE et du Royaume-Uni, Musk ayant visiblement des comptes à régler avec les régulateurs européens. Les utilisateurs concernés devront patienter… ou continuer à tout répéter à leur IA.
Reste que cette mémoire a ses limites. Contrairement à ChatGPT, qui exploite l’historique complet des discussions, Grok ne retient que des bribes contextualisées. Suffisant pour suggérer un restaurant, moins pour écrire un roman collaboratif.
Avec cette mise à jour, xAI espère fidéliser les fans de Musk tout en attirant les curieux. Prochaine étape ? Intégrer la mémoire directement dans X (ex-Twitter), où Grok est déjà accessible aux abonnés premium. Grok devrait aussi prochainement arriver dans toutes les voitures Tesla.
Rejoignez-nous de 17 à 19h, un mercredi sur deux, pour l’émission UNLOCK produite par Frandroid et Numerama ! Actus tech, interviews, astuces et analyses… On se retrouve en direct sur Twitch ou en rediffusion sur YouTube !
Le Fondsmondial pour les fondations communautaires (FBCF) fournit de petites subventions visant à stimuler et à soutenir le développement d’organisations philanthropiques communautaires dans le monde entier.
Dans le cadre de l’octroi des subventions, ils tentent de trouver un équilibre entre la consolidation des relations avec les partenaires de subvention à long terme et l’ajout continu de nouvelles organisationsau réseau. L’octroi annuel de subventions dépend dans une large mesure des ressources qu’ils ont pu mobiliser auprès des donateurs.
La plupart des subventions visent à renforcer les organisations individuelles en tant que bailleurs de fonds de base fiables et efficaces, capables d’exploiter à la fois les ressources locales et externes.
Financement du programme de subventions de la GFCF
Les subventions sont normalement de l’ordre de 7 000 à 20 000 dollars américains (le montant dépendra du budget annuel, de la nature des activités et du fait que l’organisation est déjà connue de la FBCF).
Durée du programme de subventions de la GFCF
Les subventions sont normalement d’une durée initiale d’un an (un financement de suivi peut être possible).
Activités admissibles du programme de subventions de la GFCF
Les subventions soutiennent des activités qui :
Renforcer les efforts des organismes de philanthropie communautaire pour répondre, changer les mentalités et obtenir un soutien à l’égard de problèmes complexes, délicats ou apparemment insolubles au niveau communautaire (p. ex. la cohésion sociale et d’autres divisions communautaires, les questions environnementales, les droits des femmes, des jeunes, d’autres minorités, les communautés marginalisées et vulnérables, etc.).
Renforcer la durabilité et l’efficacité globales des organismes de philanthropie communautaire en tant que véhicules fiables et enracinés pour un développement dirigé et pris en charge par les gens (que ce soit autour des systèmes d’octroi de subventions, des structures de gouvernance et de gestion, du développement et de la durabilité des fonds, des plateformes de communication, etc.).
Critères d’admissibilité du programme de subventions de la GFCF
Y a-t-il d’autres types d’organisations qui s’identifient au concept et à la pratique de la philanthropie communautaire ?
Êtes-vous intéressé par :
Transférer le pouvoir et le contrôle plus près des communautés afin que les gens aient plus de voix – et la possibilité d’agir – lorsqu’il s’agit de conduire leur propre développement ?
Reconnaître, valoriser et faire croître les atouts et les ressources locales en tant que pilier central du développement communautaire et dirigé par la communauté ?
Mettre à l’essai et démontrer de nouvelles approches – que ce soit en matière de gouvernance, de prise de décision, de mobilisation des ressources locales – qui renforcent l’action locale et favorisent de nouveaux types de participation et d’appropriation ?
Servir une communauté particulière, qu’elle soit géographique, thématique ou identitaire, et la considérer comme une source de connaissances, d’actifs, de relations et d’agentivité ?
Utilisez l’octroi de subventions comme une stratégie de développement délibérée, qui délègue le pouvoir et les ressources aux groupes et aux organisations de votre communauté, parce que vous croyez que les meilleures décisions et actions sont enracinées et façonnées par l’expérience et les connaissances locales ?
Efforcez-vous de créer une culture locale de don (philanthropie) et de co-investissement au sein de la communauté que vous servez, que ce soit comme stratégie pour aplatir le pouvoir, développer une base de soutien locale ou une base électorale pour les questions communautaires, augmenter la participation civique et la responsabilité horizontale ?
Êtes-vous basé à :
L’Afrique, l’Asie, le Moyen-Orient, l’Europe centrale et orientale ou l’Amérique latine et les Caraïbes ? (Veuillez noter que la priorité est donnée aux pays où l’accès à d’autres possibilités de financement est limité. Les demandes d’organisations de philanthropie communautaire représentant les communautés défavorisées du Nord seront également examinées au cas par cas et dépendront des restrictions de financement de la FBCF.
Si la réponse est « Oui ! » à la plupart de ces questions, alors vous pourriez être intéressé par le nouveau programme de subventions de la GFCF.
Pour obtenir plus d’informations ou pour faire votre demande au programme de subventions de la GFCF, cliquez sur les boutons ci-dessous :
Désigné médiateur entre la RDC et le Rwanda, le chef de l’Etat s’est entretenu à Luanda avec son homologue angolais, président en exercice de l’UA
Le Président de la République Faure Essozimna Gnassingbé, a effectué le 16 avril 2025 une visite d’amitié et de travail à Luanda, en Angola, où il a eu un tête-à-tête avec son homologue, João Lourenço, Président en exercice de l’Union africaine.
Au centre des échanges, la crise à l’Est de la RDC, une région en proie à un conflit armé et pour laquelle le Chef de l’Etat a été désigné officiellement par l’Union africaine comme médiateur.
Le SILL, un outil pour soutenir les logiciels open source
Le socle interministériel de logiciels libres (SILL) est un référentiel qui regroupe des logiciels open source recommandés par l’État français. Régulièrement mis à jour par la direction interministérielle du numérique (DINUM), la liste compte 530 outils en 2025. Pour qu’un logiciel figure dans ce référentiel, 2 critères sont requis :
Le code source doit être publié sous l’une des licences libres reconnues par la FSF (Free Software Foundation) et l’OSI (Open Source Initiative),
L’outil doit être déployé par la DSI d’un établissement public, ou installé par un agent public sur son propre poste de travail.
La liste des logiciels recommandés par le gouvernement en 2025
Le référentiel du SILL regroupe de nombreuses catégories de logiciels, qui peuvent répondre aux besoins des professionnels du digital. Voici une sélection de logiciels libres recommandés par le gouvernement français :