« Vous êtes encore là… ? ». Première fois sur Netflix ou de retour pour la énième sur cette plateforme, on peut hésiter vers quel abonnement se tourner, les prix et avantages évoluant constamment. Pour savoir quel est le meilleur abonnement selon vos besoins, nous avons concocté ce petit guide.
Source : Netflix
Netflix est continuellement au cœur de l’actualité. Le service de streaming américain n’en finit plus de faire parler de lui, et c’est généralement à cause de ses augmentations de prix. Vous ne savez pas quel abonnement de Netflix choisir ? Voici notre comparatif des offres par prix.
Ce qui est certain, c’est qu’avec la multiplication des services de streaming, il est nécessaire de bien choisir son niveau de souscription en fonction de ses envies. Dans les sorties du mois de décembre, il y a sans doute un contenu qui vous donne envie. Heureusement, il est aussi possible de faire baisser les prix avec quelques astuces, les opérateurs Internet étant friands d’offres groupées avec un abonnement à la clé. Notez que si Netflix est le service de streaming le plus populaire du marché, c’est également l’un des plus chers. Si jamais vous souhaitez vous désabonner, rendez-vous sur cette page.
Quel est le coût d’un abonnement à Netflix ?
Netflix propose actuellement trois offres d’abonnement pour son service, toutes ayant des caractéristiques distinctes en fonction du positionnement de leur prix. À vous de choisir quelle option vous convient :
Netflix Standard (avec pub)
Netflix Standard
Netflix Premium
Tarif mensuel
5,99 €
13,49 €
19,99 €
Nombre d’écrans disponibles en simultané
2
2
4
Nombre d’appareils pour le téléchargement de contenu (mode hors ligne)
2
2
6
Accès à l’ensemble du catalogue en illimité
85 % du catalogue
Oui
Oui
Compatibilité Smartphone, ordinateur, smartphone et tablette
Oui
Oui
Oui
Qualité d’image
1080p (HD)
1080p (Full HD)
4K UHD + HDR et audio spatial
Quels sont les trois forfaits Netflix disponibles en 2024 ?
Forfait Standard avec pub à 5,99 €/mois
Formule la plus récente, l’offre Netflix Standard avec pub vient remplacer l’ancienne formule Essentiel, cette offre a été agrémentée d’une version comprenant des publicités pour un tarif moindre, mais en 1080p (Full HD) avec deux écrans en simultané. Ces publicités sont diffusées en général avant ou pendant la plupart des films et séries Netflix. 85 % du catalogue est accessible via cette formule Netflix Standard avec pub. Par ailleurs, le site propose désormais le partage de compte payant en option sur cette offre. Il est possible de rajouter un membre supplémentaire à son foyer pour 4,99 euros par mois dans cette formule avec pub.
Forfait Standard à 13,49 €/mois
C’est l’abonnement Netflix intermédiaire qui offre une qualité de service plus avantageuse, puisqu’elle est avant tout dénuée de publicités. Pour 13,49 euros par mois, on a droit à une qualité d’image de 1080p (Full HD) et la possibilité de streamer sur deux écrans en simultané. Pour rajouter un membre supplémentaire sur cet abonnement, il faut débourser un bonus de 5,99 euros par mois.
Forfait Premium à 19,99 €/mois
Voici le forfait Netflix premium. C’est le plus cher, mais aussi le plus complet de l’offre globale. Pour ce tarif, on a droit à la qualité d’image la plus élevée, jusqu’en 4K, avec une prise en charge du HDR et de l’audio spatial via les barres de son et écouteurs sans fil compatibles. Ce forfait est parfait pour les amateurs de cinéma qui souhaitent la meilleure qualité possible (pour du streaming). Cette option est idéale pour partager avec sa famille et ses amis puisqu’il est possible d’avoir jusqu’à quatre écrans en simultané avec la même qualité de visionnage.
Enfin, alors qu’il est possible de télécharger du contenu hors-ligne sur deux appareils maximum dans les précédentes formules, l’abonnement Premium autorise jusqu’à six appareils. Là aussi, il est possible d’ajouter un abonné supplémentaire au compte pour 5,99 euros par mois.
La fin du partage de compte gratuit Netflix
Depuis un moment, il n’est plus possible de partager son compte Netflix avec des personnes tierces autres que sa famille proche ou du moins, celle de son « foyer ». Ce terme mis en avant par la firme désigne les personnes habitant ensemble au sein d’une habitation, identifiable via une seule adresse IP. Une fois ce foyer défini et les personnes y ayant leur accès, ils peuvent accéder à leur compte depuis n’importe où, que ce soit à la maison, en déplacement ou en vacances via la fonction de transfert de compte et la gestion des accès et des appareils.
Une manière pour Netflix de mieux contrôler l’usage des comptes individuels et surtout de facturer l’accès à un compte par une personne tierce à hauteur de 4,99 euros (compte avec pub) et 5,99 euros (compte Standard et Premium) par mois et par personne supplémentaire, quel que soit le niveau d’abonnement. Cette option donne également lieu à des restrictions pour l’abonné supplémentaire que nous détaillons dans l’article ci-dessous.
Si les tarifs sont fixes depuis la plateforme officielle de Netflix, il existe tout de même plusieurs moyens de faire baisser la facture et notamment en passant par les offres des opérateurs de box Internet.
S’il était encore possible auparavant de profiter d’une période d’essai de 30 jours en s’abonnant à Netflix, ce n’est malheureusement plus le cas aujourd’hui. En revanche, il est tout à fait possible de se faire rembourser son abonnement dans une période de 7 jours. Il s’agit du droit de rétractation légal, mais vous payez quand même la première mensualité. Pensez donc bien à vous rapprocher du service client de Netflix avant les 7 premiers jours de votre abonnement si vous n’êtes pas satisfait.
Netflix accepte les paiements via coordonnées bancaires, PayPal ou code-cadeau si vous en possédez un.
C’est l’alternative la plus simple pour payer son abonnement Netflix moins cher ou pour regrouper ses factures mensuelles : utiliser un abonnement offert (pendant une période donnée) ou proposé par un opérateur de box Internet.
Chez Free, c’est avec la box internet premium qu’un abonnement Netflix (forfait standard avec pub) est inclus, sans surcoût. La Freebox Ultra avec son catalogue TV-SVoD complet et un accès inclus à Amazon Prime, Canal+ La chaîne en live, Universal+, Disney+, Cafeyn et autres est à 49,99 euros par mois la première année avant de passer à 59,99 euros par mois. Il s’agit d’une offre sans engagement.
Il est d’ailleurs possible de modifier l’offre dans son espace abonné Free si l’on souhaite passer à une formule sans pub. Les tarifs sont d’ailleurs moins élevés que les prix pratiqués habituellement par Netflix. Passer à l’offre Standard sans pub sur la Freebox Ultra coûte un supplément de 7,50 euros par mois, ça grimpe à 14 euros par mois pour l’offre Premium.
Chez SFR, on a le choix entre entre les offres SFR Fibre Power et SFR Fibre Premium qui incluent toutes deux un accès à Netflix Standard avec pub, mais sur un temps limité. Il est de six mois dans la formule Power qui a une période d’engagement de 12 mois et de neuf mois dans la formule Premium qui est sans engagement.
Si vous disposez déjà d’un compte Netflix, celui-ci peut être ajouté à votre compte SFR et être remboursé (ou en partie) par l’opérateur pendant la durée de l’offre promotionnelle.
Quelle offre pour Netflix chez Canal + ?
Canal+ propose aussi la possibilité d’obtenir un abonnement à Netflix en plus de Ciné+ OCS, Max Standard ou encore Apple TV+. Ce dernier est intégré à l’offre CANAL+ CINÉ SÉRIES pour 25,99 euros par mois et pour 39,99 euros par mois au bout d’un an, avec tout de même un engagement sur 24 mois. Notez que si vous avez moins de 26 ans, l’offre Rat+ est sans engagement et à moitié prix, soit 19,99 euros par mois.
Ensemble des chaînes et plateformes disponibles dans la formule Canal+ Ciné Séries
Le compte Netflix de l’offre Canal+ correspond au niveau standard (13,49 euros/mois, 2 écrans en Full HD), mais vous avez la possibilité de basculer sur un compte Premium (19,99 euros/mois, 4 écrans UHD 4K) et de payer la différence dans l’abonnement Canal+.
Nous sommes allés à la rencontre de Nicolas, un français basé à Shenzen depuis plus de 15 ans, qui roule en voiture électrique. Et pas n’importe laquelle, puisqu’il s’agit d’une version spéciale de la Denza N7 Sport, produite par BYD, le plus grand concurrent de Tesla dans le monde. Une rencontre enrichissante qui permet de saisir les subtilités de la Chine en termes de véhicule « vert ».
Ce raz de marée chinois n’est pas uniquement présent sur les terres natales. À travers le monde, les constructeurs chinois multiplient leur présence. C’est notamment le cas de BYD, le plus grand concurrent de Tesla, qui est le numéro deux mondial de la voiture électrique, derrière la firme d’Elon Musk. Les deux entreprises sont au coude à coude et vendent presque autant de voitures électriques.
Source : Arnaud Gelineau pour Frandroid
BYD n’est plus vraiment inconnu du grand public en France, puisque la marque y est présente depuis fin 2022, avec sa première présence au salon de l’auto à Paris. Il est bien entendu possible d’acheter ne BYD et de rouler en France avec, même si les chiffres de vente sont relativement confidentiels pour le moment.
Dans quelques mois, la marque haut de gamme Denza devrait faire son arrivée en Europe. Une marque qui appartient à BYD. Et justement, lors d’un récent voyage en Chine, nous avons pu rencontrer un propriétaire de Denza N7. Nous avons pu lui poser quelques questions et monter à bord de sa voiture. Voici son témoignage.
Peux-tu te présenter brièvement, et nous dire depuis quand tu es en Chine ?
Je m’appelle Nicolas Declunder, j’ai grandi en région parisienne et je suis arrivé en Chine à l’automne 2005. Tout d’abord sur Shanghai pour un an et puis à partir de 2006 sur Hong Kong où j’ai commencé un job pour le plus gros fabricant de produits électroniques audio qui m’a fait voyager à travers le monde et permis de travailler avec des marques très variées comme V-Moda, Skullcandy, Beats-by-Dre ou encore JBL.
En 2018, je suis parti m’installer avec ma famille au Japon où j’ai vécu pendant 5 ans après avoir ouvert ma société de consulting en marketing. J’ai aussi lancé en 2019 une marque de pile (USB Pale Blue) et co-fondée une société de Distribution en France (1NfinitX).
Revenu en Chine à l’été 2023, j’ai pu me rendre compte de l’essor fulgurant des véhicules électriques connectés et du décollage de cette nouvelle industrie en Chine. Cette industrie est pour moi une adaptation des nouvelles technologies aux futurs besoins de mobilités. Les deux sujets me passionnent et je suis donc à la recherche de nouvelles opportunités dans cette industrie qui va définir notre siècle et aider à la décarbonation.
Peux-tu nous présenter brièvement ta voiture électrique, et ce qu’elle a de particulier ?
À mon retour en Chine, en 2023, il me fallait un nouveau véhicule pour mes déplacements professionnels et privés. J’ai décidé de choisir un véhicule électrique (BEV en Chine) puisque mes déplacements sont rarement de plus de 400 km par jour. Il était aussi important pour moi que la voiture ait un software /écosystème ouvert, compatible iOS et soit disponible en anglais.
Au niveau des spécifications techniques, je cherchais un véhicule qui avait un habitacle premium et confortable. Je sortais de 5 ans au Japon au volant d’un MPV (Nissan Elgrand) et je m’orienterais cette fois-ci plutôt sur une berline pour le plaisir de conduite.
C’est finalement un article blog de Nvidia qui a fini par me convaincre
Je voulais aussi éviter le 100 % numérique (sans-bouton) que Tesla et d’autres constructeurs mettent en avant, principalement pour des raisons économiques. L’inverse pour moi étant les intérieurs et finitions d’Audi ou Mercedes. Et justement un ami m’a présenté la marque Denza qui fut lancée en tant que co-entreprise entre Mercedes et BYD.
Et c’est en effet ce que j’ai pu découvrir en essayant la voiture avec la technologie de BYD sur la batterie (Blade LFP) et les systèmes de trains-roulants mais un intérieur très proche du standing Mercedes.
Il était également important pour moi d’avoir des technologies autopilote sur mon véhicule. Et c’est finalement un article blog de Nvidia qui a fini par me convaincre à l’automne 2023, puisque Nvidia avait mis en avant la Denza N7 pour la promotion de sa puce ADAS Orin X. Je suis également rassuré d’avoir BYD en support de la marque, contrairement à des startups qui peuvent fermer du jour au lendemain (exemple du constructeur Hiphi).
Tu l’as depuis combien de temps ? Tu as fait quelle distance avec ?
J’ai cette voiture maintenant depuis février 2024, puisqu’il a fallu deux mois et demi pour que Denza « construise » la version NSport que j’ai choisie et que la marque ne propose pas en stock et ne produit pas à l’usine directement. Dit autrement, la marque m’a livré une N7 classique, et j’ai dû la redéposer en concession pour la passer en version NSport, avec les éléments distinctifs de design.
J’ai parcouru 30 000 km et ait déjà changé un train de pneus arrière car la voiture avait initialement un mauvais réglage des bras de suspension arrière précipitant leurs usures. À plus de 2,4 tonnes sur la balance, ça ne pardonne pas. Pour le reste, tout fonctionne très bien, je suis content des mises à jour OTA qui continuent d’apporter des améliorations (visuelles, mais aussi matérielles telles que le réglage de la pompe à huile) et d’ajouter des villes au programme Autopilote City NOA de Denza.
Ce programme permet d’utiliser la voiture en conduite autonome qui se rapproche du niveau 3 en Europe. La voiture conduit toute seule sur les trajets, et double d’elle-même. Ce n’est toutefois pas encore au niveau d’un Tesla FSD dans les possibilités offertes.
Si tu devais citer les 5 points forts (ou que tu adores) de cette voiture ?
Gestion Autopilote et Lidars intégrés dans la carrosserie
Version NSport produite à moins de 100 exemplaires en Chine avec l’intégration de carbone
Habitacle premium : bois, aluminium et cuir Nappa et contrôles dédiés
Di-sus Air Suspension (la suspension pneumatique) et mode drift
Qualité sonore avec le système audio développé par les français de Devialet : au top pour films, musiques et jeux vidéo (et oui il y’a les manettes de jeu aussi)
Les points négatifs ?
Décote très rapide des véhicules électriques car l’innovation est intense sur ce segment. Très comparable aux télés ou cartes graphiques par exemple
Pas de réglage électrique aux sièges arrière et accoudoir arrière BYD moins qualitatif au lieu d’un Denza (c’est désormais le cas pour les modèles 2025)
Ouverture du frunk (coffre avant) manuel (c’est électrique pour les modèles 2025)
Le type SUV crossback qui n’est pas mon type de design préféré
Si tu devais acheter une voiture maintenant, tu reprendrais la même ?
Si je devais acheter une voiture maintenant, je prendrais la Denza Z9GT. J’ai choisi la N7, un SUV crossback, car elle cochait toutes mes cases en termes de fonctionnalités, mais je préfère les berlines, et encore plus les GT. La Zeekr 001 a des proportions idéales. L’Avatr 11 est pour moi la voiture NEV la plus sexy et la plus aboutie au niveau design extérieur, mais qui est totalement bloqué sur l’écosystème Huawei qui ne me convient pas.
Le service après-vente est également très important, et Denza et NIO ont des prestations très satisfaisantes qui mettent leurs clients au centre de leur stratégie. On a le droit à une collation et même un repas à chaque fois qu’on entre en concession. C’est vraiment luxueux.
J’ai également apprécié le fait que Denza permette des mises à jour matérielles sur le véhicule tel que l’ajout des mécanismes softclose sur les quatre portes de ma N7. C’est ce qui permet aux portes de se fermer toutes seules, sans avoir à les claquer.
Par rapport aux choix qui m’ont poussé à choisir la N7 et mon expérience après bientôt 1 an, je choisirai la Z9GT pour mon prochain achat. Ou la Yangwang U7 si je gagne au loto
J’ai une prise de charge d’une puissance de 7 kW chez moi. Il faut savoir que la majorité des voitures électriques premium en Chine sont livrées avec leur chargeur mural à installer à la maison, inclus dans le tarif et installé par la marque.
Lors de déplacements plus longs, je recharge sur des chargeurs rapides qui sont fréquents et très bien implantés en région urbaine et périphérique en Chine. Cela deviendrait par contre un problème si je m’aventurais à + de 500 km en dehors de Shenzhen, ce que je ne fais quasiment jamais.
Combien coûte le kWh en Chine à la maison et sur les bornes rapides ?
À la maison, on est à l’équivalent (en conversion brute yuans en euros) de 0,08 € / kWh en journée et à 0,05 € / kWh en tarif nuit. Je paye donc entre 1 à 1,5 euro pour parcourir 100 km.
Sur autoroute, le kWh sur borne rapide est facturé entre à 0,20 à 0,30 € / kWh alors qu’en ville, le kWh sur borne rapide est facturé entre 0,15 à 0,22 €. Soit entre 2,7 et 5,4 euros pour parcourir 100 km.
À titre de comparaison, un litre d’essence coûte en Chine l’équivalent de 0,76 euro. Soit environ 5 euros pour parcourir 100 euros.
As-tu déjà fait des longs trajets avec ?
Mes longs trajets sont des A/R entre ma maison et Canton, environ 400 à 450 km dans une journée que je fais sur une charge pour 60 à 70 % d’autoroute et le reste en urbain. Avec ma batterie de 92 kWh chargée à 100 %, je reviens avec 5 à 8 % de charge restante à la maison.
Sinon nous avons fait un road trip à Guilin à l’été 2024, il y avait 750 km en autoroute et cela a nécessité dans les deux sens un arrêt sur autoroute pour recharge de 10 à 90 % en environ 40 minutes.
Une particularité de ma Denza N7, c’est les deux ports de charge pour monter à 230 kW crête. Ce qui veut dire que je peux me brancher sur deux bornes en même temps, pour augmenter la puissance de charge. BYD avait lancé ce concept pour permettre une recharge plus rapide de la batterie LFP qui est sinon limitée à 150 kW avec un seul chargeur DC. À ma connaissance, seules les Denza N7 et D9 bénéficie de cette infrastructure.
Que penses-tu des autres marques comme Xpeng, Zeekr ou Avatr ? Tu ne voulais pas en acheter une ?
Avatr, et notamment la 11, est la marque dont les voitures sont les mieux dessinées, c’est exclusif, sportif mais pas ostentatoire : la balance idéale pour moi. Mais ils sont à 100 % sur un écosystème Huawei, ce qui les disqualifie pour moi.
Xpeng s’adresse principalement à une clientèle jeune cible de BMW et en concurrence directe avec Tesla. Le Xpeng G9 mis à part, leurs intérieurs ne me plaisent pas, trop épurés à la Tesla. Ils n’ont pas non plus l’affichage tête haute, manque d’expérience en interne sur les batteries et viennent d’enlever les lidar sur leur P7+ ce qui est pour moi une erreur.
Je n’apprécie pas les similarités entre Zeekr et Link&Co mais il faut avouer qu’ils ont frappé fort avec leur 001 et 007. Je continuerai de surveiller leurs évolutions de très près, le potentiel est là et ils l’ont prouvé.
J’aime aussi le design extérieur de Nio ainsi que leur service client, mais leurs intérieurs sont également trop simplifiés et mes utilisations ne nécessitent pas de payer leur service batterie swap (Baas) qui restent utiles pour des grands rouleurs qui seront prêts à payer un prix supplémentaire pour repartir avec une batterie à 100 % en 3 minutes. Pourquoi pas une Onvo en voiture secondaire…
Es-tu satisfait de la conduite autonome de ta Denza ?
Lorsque j’ai pris possession de ma voiture en février 2023, la fonction était seulement disponible sur autoroute et était trop conservatrice. Il y’avait des bugs régulièrement surtout aux dépassements de multiples camions ou bus. Après quatre mises à jour OTA à distance, des réglages ont été effectués sur le comportement du véhicule et j’utilise régulièrement l’autopilote en ville et sur autoroute.
Dans les bouchons et sur les axes encombrés, il y’a un intérêt certain. Il y’a encore quelques bugs et des erreurs de jugement du véhicule, mais je suis satisfait des améliorations sur le système. Il y’a aussi un test qui m’a rassuré sur le choix de la N7 où des essayeurs chinois ont classé la Denza N7 en première place du Smart Parking qui utilise une partie des capteurs et du logiciel impliqué dans la conduite autonome pour se garer toute seule.
Sans crier gare, le Skoda Elroq, un SUV électrique urbain, arrive sur le marché en cette fin d’année à un tarif canon : à partir de 259 euros par mois. Des mensualités attractives pour un modèle destiné avant tout à un usage mixte avec 372 km d’autonomie selon le cycle WLTP. Alors faut-il se laisser tenter ?
Dans l’univers effervescent, à défaut d’être passionnant, des SUV électriques modernes, le Skoda Elroq arrive en cette fin d’année comme un cheveu sur la soupe.
Alors que toute l’attention, cette année, a été portée sur Renault et sa R5 E-Tech, plusieurs constructeurs ont aussi lancé des modèles intéressants, et notamment Skoda qui, à défaut de proposer un modèle techniquement et esthétiquement révolutionnaire, en propose un à un prix, pour une fois, pas forcément indigeste pour les prestations proposées.
Avec un ticket d’entrée à 33 300 euros, avant les aides de l’État, le rapport prestations / équipements / prix, n’est pas des plus mauvais. Alors quand il est proposé, en plus, à moins de 300 euros par mois, il y a de quoi se pencher sur le sujet.
Cela peut paraître élevé face à des loyers qui étaient largement sous les 100 euros par mois en début d’année (comme la Citroën ë-C3 à 54 euros par mois ou encore la Renault Twingo E-Tech à 40 euros), mais le marché ayant retrouvé un peu ses repères, ces loyers nous semblent plutôt intéressants. Décryptage.
Le Skoda Elroq proposé à 259 euros par mois
Le Skoda Elroq est disponible en trois versions : 50 (170 ch et batterie de 52 kWh), 60 (204 ch et 58 kWh) et 85 (285 ch et 77 kWh). Dans le futur, une version 85X est prévue, reprenant la base de la 85, mais avec deux moteurs.
L’autonomie sur le cycle mixte WLTP varie de 372 à 577 km selon les versions. Quant à la recharge, il est possible de passer de 10 à 80 % en 25 ou 28 minutes selon la taille de la batterie.
Ce beau Skoda Elroq n’est sûrement pas disponible à 259 euros par mois.
Pour la version qui est disponible à partir de 259 euros par mois, ce n’est certainement pas celle qui s’affiche en gros sur le site de la marque quand vous ouvrez la page qui vous intéresse. Celle-ci réclame 439 euros par mois. C’est un autre budget.
La version qui nous intéresse est évidemment un modèle 50 avec la petite batterie de 52 kWh (capacité nette) lui octroyant une autonomie de 372 km selon le cycle WLTP (ce qui suffit pour partir en vacances comme nous l’avons déjà démontré), et jusqu’à 487 km en milieu urbain. Il s’agit de la finition de base « City » avec une dotation de série plutôt correcte :
Démarrage sans clé
Climatisation automatique
Volant cuir multifonction
Prise 12V dans le coffre
Phares et feux LED
Rétroviseurs extérieurs électriques et dégivrants
Info-divertissement 13 pouces avec Android Auto et Apple CarPlay sans fil
Compteur digital 5,3 pouces
Connexion Bluetooth et 2 prises USB-C
Radio DAB et 8 hauts-parleurs
Commande vocale
Caméra de recul et radar de stationnement arrière
Lecture des panneaux de signalisation
Régulateur et limiteur de vitesse prédictif
Front Assist
Détecteur de fatigue
Détecteur d’angle mort
Aide au maintien dans la voie
Jantes alliage 19 pouces
Voici le Skoda Elroq qui nous intéresse.
Plutôt pas mal pour un modèle de base, et en inspectant les finitions du dessus (réservées aux plus grosses batteries), on observe qu’il ne manque pas grand-chose d’essentiel en dehors du système de navigation GPS (à partir de la finition « Element ») ou encore la pompe à chaleur, en option sur toutes les finitions à 1 100 euros.
En ce qui concerne la configuration de base, ce n’est pas si mal non plus, avec les jantes de 19 pouces et la couleur gratuite « Bleu Énergie ». Une couleur en option, comme le « Vert Timiano » à 700 euros vous fera d’emblée sortir de l’offre.
Quelles sont les conditions pour être éligible à l’offre LLD du Skoda Elroq à 259 euros par mois ?
Ce financement est une location longue durée sur 37 mois et 10 000 kilomètres par an, soit 30 000 km au total. Skoda indique que l’offre à 259 euros par mois est soumise à un premier loyer de 7 759 euros, qui revient à 3 759 euros une fois le bonus écologique de 4 000 euros déduit.
Mais attention, cet apport est soumis aux distributeurs, qui doivent accepter l’avance du bonus écologique, car ce sont en effet eux qui doivent avancer les subventions de l’État, avant de se faire rembourser par la suite. Sauf qu’avec les retards de remboursement pris par l’État cette année, de moins en moins de distributeurs sont enclins à accepter d’avancer le bonus.
Autre particularité, Skoda précise qu’il y a également deux loyers offerts après paiement du premier loyer, ce qui nous donne 34 loyers de 259 euros.
Produit en Europe, le Skoda Elroq a ainsi le droit au bonus écologique, soit 4 000 euros. Cette offre est valable du 1er décembre 2024 au 31 décembre 2024 inclus, avec une immatriculation du véhicule au plus tard le 14 février 2025, sous réserve de stock disponible.
Dans le cas où le client n’est pas éligible au bonus écologique de 4 000 euros, Skoda indique prendre en charge la différence sous forme d’une prime exceptionnelle pour toute commande avant le 31/12/2024 et immatriculée avant le 31/03/2025. Car en effet, le 2 décembre dernier, le nouveau décret concernant le montant du bonus écologique a été publié au Journal officiel.
Les 4 000 euros ne sont plus systématiques, ce sont maintenant 2 000 euros qui sont acquis. Voici le nouveau barème :
Les cinq premiers déciles (jusqu’à 16 300 euros de revenus par part) passent de 7 000 à 4 000 euros ;
Les 6 aux 8° déciles (entre 16 300 et 24 200 euros) passent de 4 000 à 3 000 euros ;
Les 9 et 10° déciles bénéficieront d’une aide de 2 000 euros.
Dans le même temps, n’escomptez plus de prime à la conversion, celle-ci a tout simplement disparue.
Combien vous coûtera la LLD du Skoda Elroq à 259 euros par mois ?
Passons aux calculs, et ceux-ci sont plutôt simples. Sur trois ans de location longue durée, votre Skoda Elroq vous coûtera 12 565 euros. Skoda affiche sa voiture à partir de 33 300 euros sur son site, bonus écologique de 4 000 euros non déduit. Ainsi, l’aide maximale déduite (si vous êtes éligible, si vous ne l’êtes pas, Skoda prendra en charge la différence), la voiture tombe à 29 300 euros.
En partant de ce prix, vous paierez sur les trois ans de la location 37,7 % du prix de votre voiture. C’est globalement dans la fourchette haute des décotes sur trois ans pour ce type de voiture, mais nos récentes analyses ont montré que ce chiffre dépassait régulièrement les 40 % désormais. Le Skoda Elroq est donc plutôt bien placé à ce niveau.
L’intérieur du Skoda Elroq à 259 euros par mois, avec notamment son grand écran tactile de 13 pouces de série.
L’offre n’étant pas une LOA, il n’y a pas d’option de rachat du véhicule. Il faudra ainsi obligatoirement restituer la voiture à la fin du financement.
Faites attention aux frais de remise en état, car ceux-ci peuvent être élevés au moment de la restitution, c’est pourquoi nous vous conseillons de le faire avant chez un carrossier.
Les éléments à retenir
Avec la baisse du bonus écologique et son indexation aux revenus, on pouvait s’attendre à un nouveau sac de nœuds. Skoda permet d’y voir plus clair en maintenant, via une remise, l’aide à 4 000 euros qui se déduit de l’apport. Dans tout ce brouhaha, les concessionnaires apprécieront également la fin de la prime à la conversion, qui ajoutait encore de la complexité à la complexité.
Pour en revenir au produit, comme pour le prix de façade, le loyer du Skoda Elroq est plutôt cohérent et n’a rien d’outrancier. Le premier apport de quasiment 4 000 euros peut déranger, tout comme le kilométrage prescrit toujours ridiculement bas à nos yeux, mais en contrepartie la voiture offre un bon rapport équipements / prix avec, d’emblée, des jantes de 19 pouces, une couleur sympa, un grand écran de 13 pouces avec Apple CarPlay et Android Auto, ou encore des feux à LED.
En revanche, la batterie de 52 kWh et l’autonomie sous les 400 km WLTP pourrait rebuter certains clients, pour qui une autonomie de 400 km est souvent le minimum requis. Pourtant, certains modèles comme la Citroën ë-C3 (certes, bien moins chère) ou encore la Renault 5 E-Tech proposent des autonomies autour de 300 km, et elles parviennent à trouver leur public.
Une offre de la sorte aurait été sans doute plus cohérente avec la batterie de 58 kWh qui permet de faire grimper l’autonomie à environ 420 km. Néanmoins, cette offre en LLD n’a rien de scandaleuse à nos yeux, d’autant plus que, comme relaté dans nos colonnes, le Skoda Elroq a des atouts pour séduire sur la route !
Si vous cherchez une petite tablette d’appoint ou à refiler aux enfants, plutôt qu’ils prennent votre smartphone ou votrer iPad flambant neuf, voici la Iconia Tab A10-21 d’Acer, en promo à -80 euros chez E.Leclerc.
Acer Iconia Tab A10-21 // Source : Frandroid
L’Acer Iconia Tab A10-21 est typiquement le genre de petite tablette que l’on commande pour se faire plaisir à petit budget et qu’on sort pour faire plaisir aux enfants ou les occuper lors des longs trajets en voiture. Pour le prix, il ne faut pas s’attendre à un foudre de guerre, mais elle fait très bien ce qu’elle doit faire, notamment en termes d’affichage de contenus multimédias, avec une puissance relative à son prix, sur lequel vous économisez 53 %.
Les points forts de l’Acer Iconia Tab A10-21
La mémoire eMMC de 128 Go permet une belle fluidité
L’affichage sur 10,1″ permet d’avoir une belle visibilité
10h d’autonomie, pour un produit de ce genre, c’est bien
Le prix fort de l’Acer Iconia Tab A10-21 est de 149 euros. Mais chez E.Leclerc aujourd’hui, vous la retrouvez à 89 euros. Après vous être acquitté de cette somme et avoir reçu le produit, vous pouvez remplir cette offre et prétendre à un remboursement de 20 euros. Ce qui fait qu’au final, elle ne vous aura coûtée que 69 euros.
Une tablette tactile pour les petits et les grands
L’Acer Iconia Tab A10-21 est ce qu’on pourrait appeler une tablette sans prétention. De taille modeste, 24,1 x 15,1 x 0,8 cm pour 440 grammes, elle dispose d’un écran LCD de 10,1″ qui affiche 1280 x 800 pixels pour profiter de vos contenus multimédias. Les bords noirs de la tablette sont légèrement prononcés mais ne gênent pas trop la visibilité, tout en permettant de bien la prendre en main.
L’app fonctionne avec Android, donc vous retrouvez toutes les apps les plus courantes sur le Google Play Store. Idéal pour les plateformes de streaming et faire passer le temps aux enfants lors des longs voyages. Il faudra juste mettre votre smartphone en partage de connexion car il n’y a pas de support de carte Sim. Par contre, si c’est à destination des plus petits, vous avez le Google Kids Space où se retrouvent du contenu totalement safe.
Une puissance contenue mais suffisante
À l’intérieur de la tablette, vous retrouvez un processeur original, modèle Allwinner A523 avec 8 cœurs, 4 Go de RAM et 128 Go de mémoire eMMC. Pour ce qui est du stockage, vous avez ce qu’il vous faut, et pour la RAM, c’est le mininum syndical et ce qui fait que la tablette est un peu limitée dans son utilisation. N’espérez pas, par exemple, pouvoir lancer un Genshin Impact, un Fortnite ou un Warzone.
Pour le reste, vous retrouvez les grands classiques avec le WiFi, le Bluetooth et même une petite prise 3,5 mm jack pour brancher un casque ou des écouteurs filaires. Niveau batterie, elle est là aussi dans la moyenne puisqu’avec une puissance de 6000 mAh, l’Acer Iconia Tab A10-21 peut vous tenir pendant une dizaine d’heures en lecture vidéo. Ce qui sera d’ailleurs l’une de ses utilisations les plus courantes. Et pour la charger, vous avez un port USB-C, signe, quand même, d’une certaine modernité.
D’autres tablettes tactiles sont à votre disposition sur le marché, que vous retrouvez dans notre guide d’achat, afin de vous faire une idée de ce que propose la concurrence avant d’acter votre choix.
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L’Amazfit GTR Mini est une récente montre connectée taillée pour le sport, mais qui a la particularité d’adopter un design assez compact et très élégant. Un modèle original, donc, que l’on trouve en ce moment affiché à 89,90 euros au lieu de 129,90 euros sur Amazon.
Présentée l’an dernier, l’Amazfit GTR Mini est l’une des récentes montres connectées de sport de la marque. Comme son nom l’indique, à la manière d’une GTS Mini, cette tocante est, contrairement à bien d’autres modèles dédiés au sport et à la santé, très compacte et fine, ce qui devrait être bien plus agréable pendant les entraînements. Si elle vous intéresse, sachez que son prix vient de passer sous la barre des 90 euros.
Les points forts de l’Amazfit GTR Mini
Un design compact et élégant
Une batterie de capteurs pour le sport et la santé
L’Amazfit GTR Mini a comme premier atout d’être particulièrement fine (9,25 mm), légère (24,6 g) et donc compacte, ce qui est tout de même bien plus pratique pendant les sessions de sport. Son bracelet en silicone offre d’ailleurs un confort agréable durant l’entraînement. La montre est par ailleurs équipée d’un cadran élégant en acier inoxydable. On retient également sa belle robustesse puisqu’elle est certifiée 5 ATM : elle peut donc résister à une pression de 50 mètres de profondeur et vous accompagner durant vos sessions de natation.
Côté écran, on a droit à une dalle Amoled de 1,28 pouce, tactile et 2,5D (légèrement bombée). Elle est même dotée d’un revêtement anti-traces de doigt. Côté logiciel, c’est Zepp OS 2.0 qui est en place et donne la possibilité de télécharger de nombreuses applications tierces.
Un bon coach au poignet
L’Amazfit GTR Mini est aussi douée pour surveiller votre santé grâce aux nombreux capteurs qu’elle embarque. Elle est ainsi capable de mesurer votre rythme cardiaque et la saturation en oxygène de votre sang (SpO2), ou encore d’évaluer votre niveau de stress. Elle peut aussi suivre la qualité de votre sommeil ou encore proposer un suivi précis de votre cycle menstruel. Côté sport, elle est apte à proposer un suivi pour plus de 120 disciplines et est même équipée de la détection automatique d’activité. Et pour vos séances de running en extérieur, son récepteur GNSS compatible avec les systèmes de positionnements par satellite QZSS, BEIDOU ou encore GALILEO vous sera bien utile.
Enfin, côté autonomie, la marque promet une autonomie de 14 jours avec une utilisation normale, comprenez avec un nombre pas trop élevé de capteurs activés. Retenez bien que cette durée d’utilisation dépendra de vos usages.
La marque Asus est un des plus gros vendeurs d’ordinateurs portables en France… ce qui veut dire que les références sont nombreuses. Nous avons donc concocté pour vous une sélection des meilleurs PC portables Asus.
Le top 3 des meilleurs PC portables Asus en 2024
Tout le monde connait Asus dans l’univers des ordinateurs portables. Si la marque taïwanaise ne fait pas partie des plus gros vendeurs mondiaux d’ordinateurs, restant loin derrière Lenovo, HP ou encore Acer, elle n’en reste pas moins importante, surtout en France. Alors quel PC portable Asus choisir, selon votre budget et vos besoins ? Nous avons trié tout ça pour vous proposer une sélection des meilleurs modèles, le plus souvent testés pas nos soins.
Si elle peut paraitre extensive et variée, la gamme d’Asus n’est en vérité pas si difficile à comprendre. Les Vivobook sont les PC portables classiques, tandis que l’excellente série Zenbook est celle des ultraportables. En parallèle, Asus a créé une sous-marque, nommée Republic of Gamers (ROG), axée sur les produits gaming. Les PC portables ROG (et les accessoires gaming tels que les souris) sont particulièrement réputés parmi les joueurs. La gamme TUF propose elles des PC gamers plus abordables.
La série d’ultraportables OLED de chez Asus poursuit son travail avec la série UX3405. Une nouvelle fois pour ce modèle, la construction est éprouvée et toujours irréprochable. Les finitions sont de haut niveau pour permettre une mobilité complète. À la lumière de notre test, on peut regretter une connectique pas assez justement répartie et un clavier à la frappe un peu molle.
Comme toujours, la technologie d’écran Oled avec un taux de rafraîchissement maximal à 120 Hz. La calibration des couleurs est quasiment irréprochable sur les mesures que nous avons réalisées. De son côté, le pic de luminosité est monté jusqu’à 413 cd/m2. Surtout, le PC portable Asus offre une autonomie de 15 heures, très appréciable notamment pour l’usage nomade permis.
C’est au niveau de la puissance déployée que le nouvel Asus Zenbook est vraiment remarquable. La machine bénéficie du nouvel Intel Core Ultra 7 155H avec 32 Go de RAM DDR5 et 1 To de stockage. Lorsque l’ensemble est sollicité, il offre des prestations tout à fait convaincantes et surtout économes en énergie. Tout ce que l’on demande pour un ordinateur portable de cet acabit.
En termes de prix, notre configuration de test est chiffrée à 1799 euros. La version avec Intel Core Ultra 5 chute à 999 euros et c’est celle que nous vous recommandons. Pour tout savoir de ce nouveau modèle, vous pouvez lire notre test du Zenbook OLED 14 UX3405.
Ce PC portable Asus a une particularité. C’est le premier ultraportable équipé du processeur AMD Ryzen AI HX 370. En matière de construction, les matériaux premium sont de mise pratique pour la large connectique.
Crédit photo : OtaXou
Comme attendu, les performances du processeur AMD Ryzen accompagnée de son GPU fait de ce Zenbook S 16 un excellent compagnon pour les créatifs. Avec une quinzaine d’heures d’autonomie, le PC portable Asus reste très cohérent dans l’usage nomade.
Le bel écran OLED mis en place permet un bel affichage, mais l’on regrette l’absence de filtre antireflets. Il s’agit tout de même de l’un des meilleurs rapports performances/mobilté disponible sur le marché. Notre test de l’Asus Zenbook S 16 version 2024 est accessible à la lecture.
Sur le tout dernier modèle de Zenbook S en 14 pouces, on retrouve le design chez à Asus et le châssis en « ceraluminum ». Le Zenbook S 14 impressionne aussi par son écran OLED qui profite d’une superbe qualité de calibrage des couleurs. On regrettera néanmoins un revêtement trop réfléchissant. Les dalles Oled sont clairement un point fort chez Asus.
Mais c’est surtout à l’intérieur que les choses deviennent intéressantes : Asus a intégré les dernières puces Intel Core Ultra, avec ici un Core Ultra 7 258V qui offre des performances solides, en particulier sur la partie graphique grâce à l’Intel Arc.
Avec près de 20 heures d’utilisation en conditions normales, le PC se hisse parmi les meilleurs sur le domaine de l’autonomie, même face aux PC sous ARM. Quelques bémols subsistent : la partie audio laisse à désirer, notamment sur les basses fréquences.
L’Asus ROG Flow X16 (2022) est une bête de course. Il cumule beaucoup de bons points, tout particulièrement pour un PC portable gaming : un design sobre et des finitions soignées, un bel écran tactile utilisable à 360°, de la puissance à revendre, mais aussi une chauffe maitrisée. Son but : être polyvalent, et pas juste une machine dédiée au jeu.
Source : Chloé Pertuis – Frandroid
Et on peut dire qu’il réussit son pari. Il peut ainsi tout à fait être utilisé en bureautique, grâce à un clavier agréable qui offre une bonne distance de course. Le large pavé tactile en verre est très agréable aussi. La charnière permet de faire pivoter l’écran à 360°, et donc d’utiliser ce PC portable Asus comme une sorte de tablette, ce qui plaira aux créatifs. Il est d’ailleurs compatible avec les stylets.
Il dispose ainsi d’un bel écran de 16 pouces avec une définition QHD et un rafraîchissement à 165 Hz, le top pour du gaming. Cette dalle est particulièrement belle, avec une calibration des couleurs très réussie. Selon les configurations, il s’équipe d’une AMD Ryzen 7 à 9, et d’une carte graphique allant jusqu’à la Nvidia GeForce RTX 3070 Ti, et, jusqu’à 32 Go de RAM en DDR5. Il peut donc sans soucis faire tourner les jeux les plus récents. Le refroidissement est de plus, bien géré.
On pourra lui reprocher une autonomie un peu juste, d’environ 6 heures en bureautique. Découvrez notre test complet de cet Asus ROG Flow X16 si vous voulez faire l’investissement. Il faudra cependant accepter de mettre sérieusement la main au portefeuille pour ce PC portable Asus !
Zephyrus est la gamme design et discrète d’Asus en matière de PC portable gaming. Le Zephyrus G15 arbore donc un châssis avec un écran de 16 pouces, particulièrement fin et joli. On apprécie tout particulièrement le coloris clair en bi-tons, une exception notable dans un monde de PC portable gamer principalement composé de couleurs sombres.
Ce modèle coche de très nombreuses cases, dont un très bel écran Oled parfaitement calibré (qui manque cependant un poil de luminosité). Il ira ainsi parfaitement à la fois aux gamers et aux créatifs qui apprécieront la justesse de ses couleurs. L’autonomie est tout à fait satisfaisante, jusqu’à 9 heures loin d’une prise si vous faites de la bureautique. Le combo clavier/pavé tactile est très confortable.
Asus a choisi d’intégrer une puce Intel Core Ultra 9. Celle-ci déçoit un peu en matière de puissance, les performances restant honnêtes mais pas époustouflantes. Surtout, elle ne parvient pas à faire grimper l’autonomie au-dessus des 10 heures. La RTX 4070 intégrée remplit quant à elle très bien son office, et le laptop tourne tout de même au poil. On saluera la gestion thermique qui est très réussie.
Autant prévenir en amont : l’Asus ROG Strix Scar 15 affiche un look gamer assumé, avec notamment du plastique transparent qui ne plaira pas forcément à tout le monde.
En termes de dimensions, le PC portable Asus pèse ses 2,3 kg bien tassés. En ce qui concerne le clavier, la réactivité de chaque touche est suffisante pour l’usage en jeu. Surtout, Asus offre une multitude d’effets grâce à la présence du logiciel Armoury Crate. Un vaste panel de fonctionnalités est mis en place pour personnaliser celui-ci.
Source : Matthieu Legouge
En dehors des considérations esthétiques, l’ordinateur se démarque sur ses composants. Celui-ci cache un tout récent SoC Intel Core i9-12900H et une carte graphique RTX 3070 Ti ou 3080 Ti en fonction de la version choisie. Il s’agit ainsi de l’un des PC portables gaming les plus puissants sur le marché. Vous pourrez ainsi jouer sans problème en QHD à tous les jeux les plus récents. Le mode Turbo est d’ailleurs particulièrement efficace. Bon point supplémentaire, même en mode Performances, le bruit reste contenu. S’il ne brille pas spécialement par son autonomie, comme tous les PC gaming, il approchera cependant des dix heures d’autonomie en mode d’économie pour la bureautique. Par ailleurs, les haut-parleurs sont très bons, ce qui est rare et doit donc être souligné.
On laisse tout de même un petit bémol sur l’écran, qui aurait mérité plus de luminosité. Comme souvent chez Asus, la webcam est aux abonnés absents.
Cette nouvelle itération du PC portable Asus ROG Strix Scar est donc le top pour ceux qui ont besoin de puissance. Lisez notre test complet de ce PC gaming pour en apprendre plus.
Vous voulez le top du top ? Le plus puissant de tous les PC portables gaming ? Votre budget est sans limite ? Alors tournez-vous vers le ROG Strix Scar 18. Cet imposant laptop de 18 pouces abrite des composants redoutables d’efficacité. Vous y trouverez la puce Intel de 13e génération la plus puissante de 2023, une i9-13980HX. Elle est accompagnée d’une carte graphique Nvidia GeForce RTX 4090, et de 16 Go de mémoire vive DDR5. Résultat : il s’agit sans doute du PC portable le plus puissant du moment. Sans compter que la dissipation thermique est très réussie.
Si vous voulez ce qui se fait de mieux en termes de puissance, et voulez une machine un tant soit peu transportable, vous pouvez foncer. À condition d’accepter d’y mettre le prix…
Asus renouvelle souvent ses gammes. La marque a donc profité de 2023 pour mettre à son jour son modèle TUF A15 avec les composants les plus récents. Le TUF Gaming A15 que nous avons pu tester est donc muni d’une puce Ryzen 7 7735HS, d’une carte graphique Nvidia RTX 4050 et de 16 Go de RAM. Un modèle équilibré qui est parfait pour jouer en Full HD aux jeux récents.
Le TUF Gaming A15 a plus d’un tour dans son sac. Son écran de 15,3 pouces est une dalle IPS qui possède un haut taux de rafraîchissement jusqu’à 144 Hz et une certification Nvidia G-Sync. On notera en prime un excellent taux de contraste pour une dalle IPS.
Côté performances, la RTX 4060 s’en sort très bien et offre des performances tout à fait exploitables sur les jeux plus récents — en restant bien sûr en Full HD. On saluera un système de refroidissement très efficace.
Sur l’autonomie, le modèle ne fait ni mieux ni moins bien que ses comparses avec sa batterie 90 Wh. Il tient entre 5 et 6 heures avant de nécessiter une recharge. Son bloc d’alimentation est par ailleurs plutôt imposant : ce n’est pas un PC portable que l’on emmène partout avec soi. Le châssis en plastique est d’ailleurs plutôt épais, et le laptop pèse 2,5 kg. En dehors de ça, la construction générale respire la solidité.
Le Asus TUF Gaming A15 s’avère être une machine bien équilibrée pour du gaming. Nous vous conseillons de surveiller les fluctuations de prix selon les différentes configurations.
Le Vivobook S15 OLED est décliné en trois variantes de processeurs (du Intel Core i3 au i7), tous équipés d’une dalle OLED, dont les tarifs débutent à 649 euros. Il est donc possible de se le procurer à un tarif intéressant, tout en profitant d’un très bel écran. Pour un 15 pouces, avec un aussi bel écran, force est de constater que le rapport qualité-prix est très alléchant.
Source : Matthieu Legouge
En effet, la dalle est sans aucun doute le point fort de cette machine. OLED oblige, elle profite de très beaux contrastes, et toujours d’une calibration des couleurs bien maitrisée. Sur le modèle que nous avons testé, avec le Intel Core i5 de 11e génération couplé à la puce Intel Iris Xe, cela donne un grand classique qui fonctionne bien. Les températures restent contenues, le bruit aussi. Avec jusqu’à 8 heures d’autonomie, l’utilisation au quotidien reste confortable, sans atteindre néanmoins les performances des ultrabooks.
Asus nous a aussi gâtés avec la connectique (comme souvent !) : on trouve donc un USB 3.2 Gen 1, un USB-C 3,2 Gen 1, et un port HDMI 1.4. On retrouve enfin une prise combo jack et un lecteur de cartes microSD, mais aussi deux ports USB 2.0 un poil désuets. Bien entendu, le châssis reste plutôt bon marché (pas d’aluminium ici, mais du plastique), ce qui est logique au regard du tarif.
En bref, il s’agit d’un ordinateur équilibré, correctement placé dans la gamme et qui mérite qu’on s’y attarde lors de la recherche d’un ordinateur à moins de 800 euros.
Comme souvent, vous aurez maintenant du mal à le trouver sous certaines configurations, notamment avec un CPU Intel. Nous vous recommandons la version intégrant une puce AMD Ryzen 5 7250U. Vous le trouverez à moins de 750 euros.
Enfin, si votre budget est encore plus réduit, Asus a aussi pensé à tout. Le Vivobook R415 est un modèle d’entrée de gamme fiable. Muni d’une puce Intel Core i3 de 10e génération et de 8 Go de RAM, il s’agit d’une machine principalement dédiée à la bureautique et à la consommation de loisirs tels que films et séries.
Avec sa diagonale de 14 pouces et son poids de 1,6 kg, il reste relativement nomade. Comme toujours chez Asus, la connectique est satisfaisante (4 ports USB, sortie HDMI et lecteur de cartes microSD).
Contrairement à ses grands frères, ce modèle ne possède pas d’écran OLED — normal à ce prix. La luminosité se retrouve donc plutôt faible. Côté autonomie, il déçoit un peu, avec seulement 5 heures loin d’une prise.
Le Vivobook R415JA-BV356T n’est donc pas un PC portable parfait, évidemment, mais ce n’est pas possible à ce tarif, où il est obligatoire de faire des concessions. Il offre un bon rapport qualité-prix pour celles et ceux qui recherchent un ordinateur portable abordable et fiable. Notez bien cependant qu’il est livré nativement sous Windows 11S, une version plus fermée de Windows.
Depuis de nombreuses années, les Chromebook sont construits pour répondre à des besoins spécifiques. Notamment les étudiants ou les travailleurs avec peu de budget pour une machine. Asus a placé ses pions aux bons endroits pour ce Chromebook Plus CX34 en misant d’abord sur une excellente qualité de fabrication. L’ordinateur propose une excellente qualité de fabrication pour être emporté partout sans risques.
Source : Frandroid
Surtout, ce Chromebook est suffisamment performant pour répondre à des besoins professionnels. La configuration reçue en test est articulée autour d’un processeur Intel Core i5 et 8 Go de RAM DDR5. D’après les benchmarks que nous avons réalisés, le niveau de performances délivrées est comparable à ce que peut proposer un smartphone haut de gamme en 2023. Les tâches de bureautique sont ainsi accomplies sans effort et surtout sans chauffe parasite.
Dans la même veine, le Chromebook dispose d’une autonomie convenable que nous avons mesurée entre 6 et 8 heures. La connectique proposée est complète pour répondre à tous les types de besoins. Son usage silencieux est un véritable atout pour ceux qui bossent en open space ou en amphi. Son prix de départ à 499 euros en fait l’un des Chromebook les plus recommandables à l’heure actuelle. Notre test de l’Asus Chromebook Plus CX34 est disponible à la lecture pour en apprendre plus.
Une nouvelle catégorie est née dans la gamme des ordinateurs Asus. Avec l’IFA 2022, on avait vu apparaitre une vague d’écrans pliables sur de nouveaux produits. Depuis la fin de l’année 2022, le PC portable à écran pliable est sur le devant de la scène.
Asus propose le sien, baptisé Zenbook 17 Fold OLED. C’est un appareil clairement unique en son genre — pour le moment. Grâce à son large écran OLED repliable, il peut être utilisé comme une très grande tablette ou comme un ultraportable, au choix.
Le mode étendu // Source : Robin Wycke – Frandroid
L’écran de 17,3 pouces est au format 4:3. En outre, Asus propose un petit clavier Bluetooth avec touchpad pour transformer la tablette en ultraportable. Celui-ci se glisse astucieusement dans l’espace entre les deux pans de l’écran quand l’appareil est replié. La partie logicielle est par ailleurs agréable, car parfaitement gérée, Windows adapte automatiquement et rapidement l’affichage, selon le sens ou encore l’ajout du clavier.
Reste le défaut majeur du Zenbook 17 Fold : son prix, exorbitant. À 3 999 euros, il s’agit pour le moment d’une vitrine technologique pour la marque. On attend avec impatience les prochaines évolutions et versions à venir de ce type de PC pliant.
Est-ce que Asus est une bonne marque de PC portable ?
Qui est la marque Asus ?
Asus est une entreprise taïwanaise, fondée en 1989. Son nom vient de « Pegasus », le nom du cheval ailé Pégase en anglais. En plus des ordinateurs, Asus produit des composants et des accessoires, tels que des cartes mères, des cartes graphiques, mais aussi des smartphones. La marque est aujourd’hui le 6e plus gros vendeur d’ordinateurs dans le monde.
Comment est organisée la gamme PC d’Asus ?
Asus propose des PC portables depuis un certain temps, ses gammes se sont donc enrichies au fur et à mesure. Globalement, retenez que les Vivobook correspondent à l’entrée de gamme, les Zenbook aux ultraportables, et bien sûr, la marque ROG est elle dédiée au gaming.
Au sein de ROG, différentes appellations correspondent à différentes utilisations. Les PC TUF sont des ordinateurs gamer abordables. Les Zephyrus sont une proposition d’Asus pour des ordinateurs plus design, moins brandé gaming. Quant aux Strix et au Scar, il s’agit des machines les plus puissantes, vraiment dédiées au jeu pur. À tout ça, Asus a aussi ajouté de nouveaux modèles, les Flow, qui se veulent plus polyvalents et peut-être davantage destinés aux créatifs, notamment avec des charnières à 360°.
Enfin, Asus produit également des Chromebooks, ces ordinateurs abordables tournant sous ChromeOS.
Quelles sont les spécificités des PC portables Asus ?
Les ordinateurs portables Asus sont réputés sur plusieurs points, mais surtout sur la qualité de leurs écrans OLED, toujours parfaitement calibrés. Globalement, la marque parvient à proposer un bon équilibre entre les performances, les finitions et le prix. Les PC Asus présentent ainsi un rapport qualité-prix plutôt intéressant en comparaison avec ceux d’autres marques. En outre, avec sa marque ROG, Asus a la bonne idée de proposer des designs beaucoup plus sobres sur des machines destinées au jeu, couramment très marquées « gaming » chez les concurrents, avec débauche de RGB et coloris rouge et noir.
Enfin, certaines petites fonctionnalités spécifiques à Asus pourront aussi faire la différence, telles que la fonction NumPad sur le pavé tactile, ou encore le système ErgoLift qui surélève la machine quand vous l’ouvrez et permet une meilleure circulation de l’air.
Quel PC portable Asus choisir ?
Comme souvent, la réponse est… ça dépend. Tout dépend de vos usages, de vos besoins, de vos priorités, mais aussi et surtout de votre budget. Si vous comptez travailler sur votre ordinateur et l’utiliser en déplacement, un ultraportable tel qu’un Zenbook sera tout indiqué. Pour jouer aux derniers jeux, choisissez un laptop Asus ROG, de préférence un Strix. Et si le principal pour vous est de ne pas trop dépenser, la gamme Vivobook est intéressante, à moins de 1000 euros.
Boulanger propose un super pack comprenant le Xiaomi 14T avec les écouteurs Redmi Buds 4 en promo à -101 euros d’une part, et un bonus de rachat au panier de 100 euros sur votre ancien matériel d’autre part.
Source : Chloé Pertuis pour Frandroid
Le Xiaomi 14T est au Xiaomi 14 ce que le S24 FE est au Samsung Galaxy S24 ou encore ce qu’est le Google Pixel 9a au Google Pixel 9, pour ne citer qu’eux. Comprenez par là une version financièrement plus abordable du fer de lance de la marque avec quelques compromis techniques qui justifient le prix en baisse, tout en gardant ce qui a fait le succès du flagship. En plus, cette offre comprend une paire d’écouteurs Bluetooth Redmi Buds 4 pour une utilisation complémentaire et un prix en baisse pour se faire plaisir à Noël.
Les points forts du Xiaomi 14T
De vrais progrès sur la photo, qui se montre convaincante
Des performances haut de gamme, top pour le gaming
Une autonomie en hausse et la charge rapide 67W
Ce lot Xiaomi comprenant le smartphone 14T et les écouteurs Redmi Buds 4 passe de 650,99 euros à 549,99 euros chez Boulanger. Si vous avez un appareil à revendre, son prix de reprise sera bonifié de 100 euros. Par exemple, un Xiaomi 13T fonctionnel est repris 109 euros, donc vous toucherez 209 euros. Ce qui fait que le pack est à 340 euros.
Si, par la suite, l’offre mentionnée dans cet article n’est plus disponible, merci de jeter un coup d’œil ci-dessous afin de dénicher d’autres offres concernant le Xiaomi 14T. Le tableau s’actualise automatiquement.
Le Xiaomi 14T est une version du Xiaomi 14 un peu moins puissante, sauf côté photo. Vous retrouvez là un équivalent du Realme GT6 ou encore du Poco X6 Pro, à la différence près qu’il est en promo en ce moment. C’est un smartphone avec un écran AMOLED de 6,67″ qui peut aller jusqu’à 144 Hz. Il tourne avec une puce Dimensity 8300-Ultra, 12 Go de RAM et 256 Go de mémoire.
La batterie de 5000 mAh compatible charge rapide 67W permet une autonomie d’une journée, à l’aise, par contre vous n’avez pas de charge sans-fil. Côté photo, on l’a dit, pas de concession sur les trois capteurs de 50, 50 et 12 Mpx ainsi qu’un capteur frontal de 32 Mpx. Tout ça enrobé dans un boitier de 160,5 x 75,1 x 7,8 mm pour 195 grammes, une taille standard.
Les Redmi Buds 4 et leur réduction de bruit active
Second produit de ce pack, et pas des moindres : les écouteurs Redmi Buds 4 de Xiaomi. Ils bénéficient du format intra-auriculaire, permettant une première isolation passive convaincante, à laquelle s’ajoute une annulation active gérée par trois micros. En plus de ça, l’IA est de la partie et identifie les voix humaines pour mieux l’isoler et la réduire.
Les écouteurs ne pèsent que 4,5g chacun et sont au format bouton : il faut appuyer dessus pour utiliser les différentes fonctions. Ils sont certifiés IP54 et résistent donc à la poussière et aux projections d’eau. Ils prennent en charge les codecs SBC et AAC, avec une autonomie de 6h par cycle de charge, et 30h avec le boîtier.
Si jamais vous souhaitez en apprendre plus sur le Xiaomi 14T, un test complet et détaillé n’attend plus que vous.
Pour faire vous-même votre propre combo, vous pouvez consulter les guides d’achat dédiés aux smartphones et aux écouteurs Bluetooth pour trouver votre bonheur.
Des invités passionnants et des sujets palpitants ! Notre émission UNLOCK est à retrouver un jeudi sur deux en direct, de 17 à 19h sur Twitch. Pensez aussi aux rediffusions sur YouTube !
Le casque sans fil Soundcore Space One d’Anker se démarque notamment par son excellente autonomie qui dépasse les 40 heures. Son autre atout majeur, c’est son prix, qui passe de 99,99 euros à 65,99 euros sur Amazon.
Le casque sans fil Soundcore Space One d’Anker. // Source : Tristan Jacquel pour Frandroid
L’an dernier, la gamme Soundcore d’Anker a accueilli un petit nouveau : le casque sans fil Space One, qui cumule les spécifications. Réduction de bruit active, son adaptatif, énorme autonomie… S’il n’est pas parfait partout, ce modèle Bluetooth a tout de même pas mal d’atouts, à commencer par son prix, déjà plutôt accessible à son lancement, mais encore moins élevé actuellement grâce à une promotion.
Si, par la suite, l’offre mentionnée dans cet article n’est plus disponible, merci de jeter un coup d’œil ci-dessous afin de dénicher d’autres offres concernant le Soundcore Space One. Le tableau s’actualise automatiquement.
Un joli casque confortable
Découvrez la signature sonore légendaire d’Audio-Technica
Notre avis : “Difficile de ne pas aimer la restitution du casque Audio-Technica ATH-M50xBT2 ! Le fabricant japonais livre un casque qui devrait ravir bien des oreilles. Chapeau.”
Le casque sans fil Soundcore Space One est un modèle circum-aural pliable, donc pratique à ranger, qui a aussi la particularité d’être souple et d’être équipé d’oreillettes articulées. Il est donc très confortable à porter puisqu’il n’exerce pas trop de pression sur la tête. Petit bémol tout de même pour l’inertie bien perceptible quand on marche rapidement, par exemple. Globalement, le Space One est un casque bien conçu, malgré l’utilisation de plastique, et plutôt stylé.
Le format circum-aural, qui offre déjà une isolation passive puisque les oreillettes englobent les oreilles, permet également de profiter de la réduction de bruit active. Ici, elle est adaptative et il est possible de faire son choix parmi cinq niveaux d’intensité. Malheureusement, elle s’est révélée un peu trop moyenne lors de notre test, notamment en raison de la faible isolation passive causée par le fait que les mousses des oreillettes appuient peu sur le crâne. Le traitement numérique des sons parasites parvient tout de même à réduire les sons les plus graves. C’est déjà ça.
Une maxi-autonomie rassurante
Le Soundcore Space One renferme par ailleurs une puce Bluetooth 5.3, qui prend en charge la connexion multipoint, qui permet d’associer le casque à plusieurs sources et de basculer facilement entre deux d’entre elles, mais également plusieurs codecs audio, comme le format LDAC de Sony accompagné du logo Hi-Res Audio. Côté audio, le casque délivre un son enjoué et entraînant, mais fortement coloré dans le haut du spectre, avec une mise en avant nette des aigus. En choisissant un profil d’égalisation adapté, il est possible d’atténuer un peu cette prédominance. Globalement, le son est aussi doux et le grave généreux.
Notez par ailleurs que le Soundcore Space One propose aussi la fonctionnalité de calibration HearID Sound, qui mesure votre acuité auditive afin d’adapter la signature sonore de son casque à vos oreilles. Mais elle ne fait qu’ajouter de l’aigu… Passons à l’autonomie, qui est sûrement l’atout majeur de ce casque. Elle peut en effet atteindre les 40 heures d’écoute, et même les dépasser si l’on désactive la réduction de bruit active. C’est tout bonnement excellent. En plus, une charge de 5 minutes suffit à restituer 4 heures d’autonomie.
Après plusieurs mois de rumeurs, puis la commercialisation du Vision Pro d’Apple, Google et Samsung sortent enfin de l’ombre avec une annonce : un nouveau système d’exploitation, des lunettes et un casque de réalité mixte.
Cette collaboration, présentée comme celle d’une « seule équipe », était donc très attendue. Fini le temps des initiatives en solo comme Google Glass — qui s’était soldé par un échec cuisant il y a dix ans. Cette fois-ci, l’union fait la force, et le timing a du sens.
La vision de Google pour Android XR va bien au-delà d’un simple produit. Comme l’explique Shahram Izadi sur The Verge, vice-président de Google pour la réalité augmentée et la réalité étendue : « Ce ne sera pas un produit unique. C’est Android. » L’entreprise déploie en effet une stratégie en trois axes : d’abord, construire une base solide avec les développeurs ; ensuite, intégrer l’expérience conversationnelle de Gemini ; et enfin, diversifier les formats d’appareils.
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Cette approche reconnaît qu’aucun appareil unique ne représente l’avenir de la XR : les casques pourraient être réservés à des usages « épisodiques » comme le divertissement, tandis que les lunettes connectées viendraient compléter l’écosystème existant des smartphones et des montres connectées pour des cas d’usage plus quotidiens comme les notifications discrètes ou la recherche d’informations.
Une vision qui tranche avec celle d’Apple, plus focalisée sur un produit unique haut de gamme. Du moins, pour le moment.
Samsung Project Moohan
Le Project Moohan (dont le nom est inspiré du mot coréen signifiant « infini ») représente la vision de Samsung et Google pour la réalité mixte.
Ce casque, qui ressemble au Vision Pro d’Apple, a une conception allégée avec une meilleure répartition du poids grâce à un large coussin à l’arrière, un champ de vision plus large que son concurrent et un système de batterie interchangeable via USB-C — permettant différentes options d’autonomie selon les besoins.
Samsung Project Moohan // Source : Google / Samsung
Le casque propose deux modes d’utilisation : avec ou sans joint d’étanchéité à la lumière, et permet de basculer entre réalité virtuelle et augmentée d’un simple double tap sur le côté.
Il est alimenté par la puce Qualcomm XR2 Gen 2, cette puce est une version améliorée du SoC qui équipe le Meta Quest 3.
Ces lunettes intelligentes représentent une vision plus légère et quotidienne de la réalité augmentée. Équipées de caméras externes et synchronisées avec un smartphone, elles promettent d’intégrer l’IA dans nos tâches quotidiennes, notamment avec un système de navigation piétonne en réalité augmentée.
Google utilise une technologie microLED développée par Raxium, une entreprise acquise il y a deux ans spécifiquement pour ce projet.
Cependant, Google reste prudent sur le calendrier de commercialisation. L’entreprise préfère distribuer des prototypes à des testeurs et, selon Samat, ne lancera le produit que « quand le moment sera venu ».
Une stratégie offensive face à Apple
L’ambition est claire : reproduire le succès d’Android dans le monde des smartphones. Google mise sur l’ouverture de sa plateforme, pour permettre à différents fabricants (Sony, Xreal, Lynx Mixed Reality) de développer leurs propres appareils XR. Une approche diamétralement opposée à celle d’Apple et son Vision Pro à 3 999 euros.
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Le Project Moohan de Samsung se veut plus accessible et confortable que son concurrent direct. Exit le poids excessif qui handicape le Vision Pro, Samsung promet un appareil plus léger avec une meilleure répartition du poids. Won-Joon Choi, responsable R&D chez Samsung, insiste sur l’importance du confort : « Les premières impressions sont importantes ».
L’IA comme différenciateur clé
L’intelligence artificielle est au cœur de cette nouvelle offensive. Sameer Samat, executive chez Google, explique ainsi que le développement d’Android XR a été repensé autour de l’IA. Encore une fois, Google cible bien le point faible d’Apple, Google étant en avance avec Gemini.
Concrètement, cela se traduit par des fonctionnalités spécifiques : analyse en temps réel d’objets, instructions de montage en réalité augmentée, ou encore planification de voyages immersive dans Google Maps.
Android XR proposera une interface familière aux utilisateurs d’Android, tout en introduisant des contrôles gestuels et oculaires. Le système permet également de basculer entre réalité augmentée et virtuelle d’un simple double tap, une fonction similaire à celle du Vision Pro, ouà ce que l’on voit sur le Meta Quest, mais avec quelques différences dans l’ergonomie.
Les applications existantes de l’écosystème Android seront compatibles, un avantage pour l’adoption. YouTube jouera un rôle essentiel dans l’offre de contenu, notamment grâce à ses vidéos stéréoscopiques déjà disponibles. Une approche plus pragmatique que celle d’Apple qui investit massivement dans la création de contenu VR original.
Côté prix, si Samsung ne l’évoque pas, l’entreprise laisse entendre qu’elle visera un tarif plus abordable que le prix du Vision Pro. Ce qui n’est guère surprenant.
Reste à voir si cette alliance saura éviter les écueils qui ont fait échouer tant de projets XR par le passé. Le marché de la réalité mixte, jusqu’ici confidentiel, pourrait enfin trouver son public grâce à cette approche plus accessible et ouverte.
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En parallèle de son casque « Project Moohan » développé avec Samsung, Google a également présenté ses lunettes connectées
Le prototype de lunettes connectées de Google // Source : Google
Ce jeudi, c’est à la surprise générale que Google et Samsung ont annoncé la première étape d’un partenariat dévoilé il y a près de deux ans autour de la réalité étendue. Les deux firmes ont ainsi présenté non seulement leur projet de casque de réalité augmentée, « Projet Moohan », mais également des lunettes connectées.
Pour l’heure, les lunettes connectées ne sont encore qu’un prototype. Comme le signale le site américain The Verge, il s’agit de lunettes dotées non seulement de haut-parleur et de caméras afin de reconnaître l’environnement de l’utilisateur, mais aussi d’un affichage. Les lunettes tournent sous le même système d’exploitation, Android XR, développé spécialement par Google pour tous les usages liés à la « réalité étendue ».
Ici, l’approche n’est pas sans rappeler ce que propose déjà Meta avec ses propres lunettes connectées, conçues sur la base des lunettes emblématiques de la marque Ray-Ban. Les utilisateurs peuvent ainsi utiliser les lunettes pour analyser leur environnement et poser des questions contextuelles.
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Les réponses sont par la suite données directement à la voix par Gemini, intégré nativement aux lunettes, mais peuvent l’être aussi à l’écrit, dans l’affichage interne des lunettes, comme le signale Wired :
Contrairement aux lunettes de Meta, les lunettes connectées de Google ont un écran. Et il y a plusieurs options possible — lunettes sans écran, mais avec accès à Gemini, lunettes avec un seul écran sur un verre, ou lunettes avec écran sur les deux verres qui affiche la meilleure expérience.
Connues initialement sous le nom de code « Projet Astra », ces lunettes connectées sont cependant un simple prototype encore en développement chez Google. Surtout, le constructeur ne compte pas les vendre directement, mais travailler avec plusieurs acteurs afin d’intégrer ses technologies dans différents produits. En cela, Google souhaite donc avant tout vendre son système Android XR et les technologies employées, et laisser les différentes marques partenaires concevoir le design.
De premiers modèles attendus en 2025
Google devrait néanmoins proposer une première version commerciale de ses propres lunettes en 2025. Une manière pour la firme de montrer à ses constructeurs partenaires la voie à suivre, à la manière des smartphones Google Pixel ou des montres Pixel Watch.
Le prototype de lunettes connectées de Google // Source : Google
Rappelons par ailleurs que Google n’en est pas à son coup d’essai dans le domaine des lunettes connectées. Il y a dix ans, la firme lançait ses Google Glass. Il s’agissait alors de lunettes capables de filmer et dotées d’un petit écran holographique pour visionner certaines informations.
Pour l’heure, on ignore encore quelles seront les caractéristiques de ces lunettes ainsi que le prix de vente attendu.